Arrêt sur image : #SheToo ou le sexisme invisible dans le foot.
Invisible et pourtant sous nos yeux. Invisible parce que trop admis comme naturel. Habillé de bonnes intentions il n’en prolonge pas moins un stéréotype aussi désagréable qu’injuste.
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Arrêt sur image : #SheToo ou le sexisme invisible dans le foot.
Invisible et pourtant sous nos yeux. Invisible parce que trop admis comme naturel. Habillé de bonnes intentions il n’en prolonge pas moins un stéréotype aussi désagréable qu’injuste.
On lui a aussi attribué un autre surnom: le bulldozer. Elle fait partie de ces êtres qui ont quelque chose de plus, quelque chose qui les porte et les pousse vers des accomplissements inattendus.
Fini l’or des stades pour les vraies femmes. Elles se font surclasser par les femmes transsexuelles, c’est-à-dire des hommes biologiques ayant changé d’apparence et d’identité.
Les recettes de pub ne sauraient couvrir les charges d’une télé régionale aux (trop?) grandes ambitions. La redevance comble le manque. Dans un petit bassin de population, cette redevance est forcément chère. À moins de…
L’animation, entre l’ambiance de cour de récré et les sensibleries superfétatoires, ne m’a pas découragé. J’ai quand-même regardé quelques séquences du divertissement estival de TF1. Il s’est achevé sur la victoire de Valentin Dubois. Un crack.
La finale de la Coupe du monde de football féminin a connu un fort succès médiatique aux Etats-Unis. C’est le match de foot le plus regardé à la télévision américaine, devant la finale Allemagne-Argentine de 2014. Trois raisons à cela.
Dans la thèse analysée, l’auteur affirme que le sport oblige les femmes à reproduire les codes et rôles sociaux auxquels elle a été «soumise». Ces codes, comportements ou rôles ne seraient que des «constructions sociales», ce qui dans ce discours signifie aliénation patriarcale et soumission béate de femmes collectivement esclaves.
La «construction sociale» est le nouveau monstre des temps modernes. Tel un Leviathan ayant traversé les âges pour manger les enfants et contraindre les femmes à plaire, il sévit toujours lors des jeux olympiques et des compétitions sportives. Analyse d’une thèse féministe, publiée dans Le Monde en octobre 2000 sous la plume de Catherine Louveau.
Aujourd’hui je vote tout seul pour élire ma personnalité suisse de l’année. C’est une femme. On ne se refait pas... Je laisse les plus connus à la grande presse: Federer l’ogre gentil, Cancellara le géant blessé, Christian Varone le Virenque politique à l’insu de son plein gré, Ueli Maurer même pas vacciné contre la Grippen, Gérard Depardieu - ah non, il n’est pas suisse lui.
Jusque là je croyais que l’on accusait un sportif de dopage sur la base de preuves formelles. Que sans présence de produit interdit dans les analyses on ne pouvait rien affirmer. Et encore moins condamner. Avec Lance Armstrong cela a changé. Il restera le héros déchu par les témoignages de ses camarades.
Londres 2012, l’apothéose des jeux paralympiques. Des stades remplis pendant deux semaines, une couverture télévisuelle exceptionnelle, une ferveur jamais démentie, des larmes, du bonheur. L’extraordinaire performance des milliers d’athlètes: bel exemple de volonté, de courage et de dépassement de soi. Au même titre que les jeux olympiques des valides.
Trop fort Rodgeur. S’il gagne demain à Wimbledon il empoche deux records de plus! Le nombre de semaines No 1 mondial et le nombre de finales sur le gazon anglais. Et il égale Sampras en nombre de finales gagnées chez les british. Rodgeur, tiens bon! La Suisse, que dis-je: le monde entier est avec toi. Sauf la petite amie d’Andy Murray bien sûr. Déjà que son copain n’a jamais gagné un titre du grand chelem...
Les français broient du noir, Laurent Blanc est cramoisi, les Bleus sont verts. Cela fait un bel arc-en-ciel. N’empêche que les espagnols sont méchants et que Sarkozy était un président normal.
Il y a de quoi donner le tournis. Premièrement on fait aller la tête à gauche et à droite pendant des heures pour regarder une petite balle jaune qui fonce parfois à plus de 200 km/h. Mais il ne s’agit pas de cela. Ce sont les joueuses. Mesdames - ou mesdemoiselles - ne le prenez pas mal, mais c’est terrible.
La vidéo du départ de DSK de l’hôtel Sofitel est en ligne. Après tout ce qui a été dit, dévoilé et déformé, il n’y avait pas de raison de la garder secrète. Elle a sa petite utilité sur le déroulement des choses et sur la danse des employés de sécurité.
Sébastien Chabal aime le rugby. Commencer à 17 ans, se faire à la force de ses muscles et arriver en Equipe de France en est une démonstration. Il aime aussi les affaires et a créé sa ligne de vêtements, pas originaux pour un sou mais qui en rapportent, des sous. Comme quoi on ne peut pas à la fois avoir les cheveux longs, être une icône médiatique et être inventif. Il aime aussi écrire et sort actuellement son livre, Ma petite étoile.
Le mot anglais est relativement récent, mais la fonction est ancienne. Un entraîneur sportif est un coach. Pourquoi dès lors utiliser l’anglais? Parce que «entraîneur» est typé sport alors que la fonction s’est élargie à d’autres domaines d’activité. Et le féminin d’entraîneur n’est guère utilisable pour une femme.
Ah la la la la, que ne dira-t-on sur cette équipe de France. Rien n’est assez dur, critique, rien n’exprimera assez la déception d’une nation qui voudrait être parmi les meilleures. Imposteurs, trahison, arnaque, et j’en passe: tout le monde semble s’être donné le mot pour accabler ces grands gosses que sont les joueurs.
Hier soirée télé. Bretagne contre Bretagne. Rouge et noir. Couleurs partagées dont l’une des équipes s’est défaite pour la circonstance.
Si si, les chats sont terribles, dangereux, parfois sanguinaires. Pas pour nous les humains, no soucy. Mais pour toutes les adorables bébêtes velues, pelues et plumables.