Tout le monde peut se tromper. Même les politiques. Et même les femmes politiques. Si, si. Pourtant il suffit parfois d’un petit clic (de souris) pour éviter des erreurs carrément contre-productives.
duflot
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Sexisme ? Elles auraient dû vérifier
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Arnaud Montebourg et le capitaine abandonné
Monsieur « Made-in-France » n’y pense pas qu’en se rasant. Le populiste-souverainiste Arnaud Montebourg a fait hier son coming out politique: « Je veux être calife à la place du calife! ». L’odeur de l’écurie s’accentue.
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Harcèlement par SMS : une nouvelle victime
« … j’aime le sexe sans limite libre, et un peu extrême ».
Qui a répondu cela à Denis Baupin? Une victime. Victime de harcèlement, dit-elle. Surprenante réponse pourtant, qui éclaire d’une autre lumière les accusations de harcèlement sexuel portées contre le député des Vert.
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A la recherche de Gaspard Proust, le nouveau Desproges
J’ai découvert Gaspard Proust en lisant Causeur. Vous savez, ce canard qui veut nous faire croire que la droite est devenue intelligente. Or on sait qu’elle est illisible. Elle ronfle ou marche au pas. Enfin non, elle ne marche plus au pas. La gauche a pris le relais.
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Le cannabis n’a rien à voir avec la sécurité
En suite à mon billet d’hier appelant François Hollande à faire comme en Hollande, je reviens sur la position du ministre de l’intérieur Manuel Valls. Celui-ci s’oppose à la dépénalisation du cannabis pour des raisons de sécurité. Selon ses propos la gauche française est assez critiquée pour son laxisme en la matière ou son refus d’assumer ses responsabilités, et tout changement de doctrine sur le cannabis serait perçu comme un retour aux vieux démons.
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Hollande, fais comme en Hollande, légalise le cannabis!
La Suisse vient de décider que fumer un joint ou posséder moins de 10 grammes d’herbe ne sera plus un délit poursuivable. Une simple contravention de 100 CHF fera l’affaire. Enfin un pas vers une position plus réaliste, même si on est encore loin du compte. La France reste partagée entre le conservatisme rigide d’un Hollande ou d’un Sarkozy, et le pragmatisme de quelques politiciens et politiciennes qui osent braver l’omerta.
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Potins d’après-campagne
On a raison de montrer les contradictions des hommes politiques. Il ne s’agit pas de vouloir être gouverné par des saints mais on attend d’eux un différentiel le plus réduit possible entre ce qu’ils disent et ce qu’ils font. C’est le prix de leur succès. Sarkozy n’avait pas été épargné, pas de raison que cela change. Dans la série: «Le changement c’est pareil», voici quelque potins taquins.