Cela sent l’écurie. La ligne d’arrivée est en vue. Il faut marquer les derniers mètres de sa griffe, de son odeur. Les gens votent aussi sur une odeur – enfin, sur une impression. Voici les miennes.
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Cela sent l’écurie. La ligne d’arrivée est en vue. Il faut marquer les derniers mètres de sa griffe, de son odeur. Les gens votent aussi sur une odeur – enfin, sur une impression. Voici les miennes.
Parenthèse dans la guerre qui monopolise énormément d’attention, la campagne présidentielle égrène son lot de sorties que chacun juge comme il le veut.
Christiane Taubira tire sa révérence. Trois petits tours pour pas grand chose. L’icône socialiste mord la poussière après avoir gagné sans vrai programme la « primaire citoyenne » – euh, la primaire de gauche hors des partis habituels.
Elle en grogne de plaisir. Elle a réussi. Elle est la candidate officielle du parti Les Républicains. Exit le versatile et trop prétentieux Xavier Bertrand. Et ronronnant.
Le bon Gustave Eiffel n’imaginait pas que sa tour deviendrait un jour le sémaphore des attentats terroristes. La technologie aidant il est aujourd’hui possible de l’éteindre d’un coup, ou de l’éclairer en couleurs multiples, ou étage par étage afin de reproduire les drapeaux nationaux.
Il y a heureusement des lois pour encadrer l’activité politique. Le cas échéant ces lois s’appliquent aux comportements délictueux. De nombreux élus ont déjà dû rendre des compte devant les tribunaux. Si nombreux qu’il vaudrait mieux laisser faire la justice que de prétendre à l'exemplarité.