Combien en reste-t-il? Les chiffres divergent et l’on ne sait qui croire. Depuis des décennies on nous annonce la fin de l’ours blanc. Il serait décimé par la variation climatique haussière et la fonte estivale partielle de la banquise.
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Combien en reste-t-il? Les chiffres divergent et l’on ne sait qui croire. Depuis des décennies on nous annonce la fin de l’ours blanc. Il serait décimé par la variation climatique haussière et la fonte estivale partielle de la banquise.
Retour sur cette image largement diffusée dans les médias. Il y a comme un syndrome Aylan: l’ours est seul, peut-être mourant. Un seul spécimen tire des larmes au monde entier. Son agonie serait la preuve de la situation supposée dramatique des ours polaires.
La goélette Tara, dont la mission est d’étudier les océans, est prise dans les glaces dans le passage du nord-est de la banquise arctique. A cette période il est en principe libre. Pas cette année. D’autres bateaux sont également immobilisés dans la région.
Ce serait simple si le pôle Nord était une pancarte plantée dans la neige: «Ici, pôle Nord magnétique» ou encore: «Extrémité septentrionale de la grosse orange bleue». En réalité c’est possible pour le pôle géographique qui dispose d’un lieu fixe, soit l’extrémité de tous les méridiens. Mais cela ne suffit pas pour le pôle magnétique. Parce qu’il bouge. Et même de plus en plus vite depuis 1990.
J'ai failli intituler mon billet "Zouk avec Maria Mettral". Vous verrez plus bas pourquoi. En attendant ils vont mettre le souk avec leur zouk. Plus une ou deux baffes bien senties par-ci par-là: ça va swinguer. Et vu le chemin que ça prend, peu de chance qu’on y échappe. Là haut il y en a déjà qui bandent comme un arc!