Trois grosses poires à l’envers. Trois grosses poires posées sur la queue, sur la mer. Ça ne se trouve pas partout. Il faut le bon endroit. Et de bonnes conditions. Ah, les conditions...
piano
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Trois poires à l’envers, posées sur la mer
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Rêverie d’ailleurs, ou d’autre part
C’est un chant bien étrange. Une musique des roseaux, ou de la lune. La nuit est peut-être douce. Ou fraîchissante. La saison, indéfinissable. Ce pourrait aussi bien être l’hiver du nord aux craquelures dansantes, ou la moiteur des lagunes aux bordures d’Asie.
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La fin du piano sur la mer
Il y avait ce piano, sur une langue de sable. On ne savait d’où il venait. Il a fait rêver une partie du monde. On pouvait imaginer les hypothèses les plus poétiques ou les plus loufoques. On aurait presque pu, certains soirs, entendre une musique portée par une brise de mer. Le rêve s’est achevé. On sait d’où vient le piano, et où il est parti.
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Le piano sur la mer
Il est arrivé là, personne ne sait comment.
Un matin il se dressait au-dessus des vagues, sur un vague banc de sable à peine submergé par la marée haute.
Un piano à queue. Ou un piano aqueux. Mouillé, quoi.
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Gaspard de la nuit
Ce texte d’Aloysius Bertrand est un des premiers poèmes en prose, dont l’auteur est considéré comme l’inventeur. Poète romantique original de la première moitié du 19e siècle il est connu en particulier pour son recueil «Gaspard de la nuit». Un site lui est consacré ici.
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La boîte à musique est de retour
Sur France 2, le jeudi en deuxième partie de soirée, la Boîte à musique de Jean-François Zygel est de retour. L’une des plus belles émissions des chaînes télé privées ou publiques.
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Hélène Grimaud (malade) et Rachmaninov
Pour faire plaisir à ceux qui ont apprécié mon billet sur Stravinski, aux autres, et à moi-même, voici un autre moment de bonheur et d’extase.