On le sait, la présence humaine aggrave les conséquences des extrêmes météorologiques. Dans de nombreux cas la part anthropique de ces désastres est indiscutable. Un article publié dans cairn.info fait le point à partir d’études de terrain.
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On le sait, la présence humaine aggrave les conséquences des extrêmes météorologiques. Dans de nombreux cas la part anthropique de ces désastres est indiscutable. Un article publié dans cairn.info fait le point à partir d’études de terrain.
Des disparus, des morts. Des routes qui semblent s’évaporer. Des villages de soleil soudain à l’agonie. Des murs d’eau durs comme de la pierre, rapides comme un train. Terribles images. Que peut-on faire pour préserver la sécurité des personnes et des biens?
Retour de la légende urbaine: la Terre vivrait à crédit depuis fin juillet. Elle dépenserait (par notre consommation) plus qu’elle ne pourrait régénérer, tous domaines confondus. Mais la Terre ne peut pas vivre à crédit. C’est impossible. Le crédit suppose deux partenaires. Quand nous contractons un crédit nous nous adressons à une personne ou un organisme qui met à notre disposition ce qui nous manque.
«Toujours plus!» est une des grandes devises de l’humanité. Rares sont les populations ou groupes qui s’en affranchissent. A part quelques peuples aborigènes ou amérindiens d’Amazonie, la plupart des sociétés en veulent toujours plus. A une époque où l’on parle de décroissance, l’envie du Toujours plus touche tous les domaines.
Deux tremblements de terre particulièrement violents ont frappé le Japon cette nuit. Le premier a atteint une magnitude de 8,9 et le second de 6,4. Pour mémoire le séisme de Noël 2004 en Indonésie, suivi du tsunami meurtrier, avait atteint la puissance de 9,1à 9,3. Une réplique de magnitude 7,9 a été signalée également ce matin.