Le boomer, on le sait, est cet individu né pendant le baby-boom entre 1945 et 1964. Sa génération ne comprendrait rien aux débats contemporains, elle est enfermée dans des préjugés datés et elle a ruiné la planète. Rien que ça.
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Le boomer, on le sait, est cet individu né pendant le baby-boom entre 1945 et 1964. Sa génération ne comprendrait rien aux débats contemporains, elle est enfermée dans des préjugés datés et elle a ruiné la planète. Rien que ça.
Le thème des migrations est un des plus clivants aujourd’hui. C’est donc un bon sujet. Pour certains l’immigration est une chance. Pour d’autres une plaie. Comme souvent il y a du vrai dans les deux affirmations.
Peu d’humains se questionnent, vérifient, réfléchissent librement. C’est une tâche ingrate: contrôler les affirmations lancées par des petits groupes suppose de chercher l'information, l'analyser, et douter par principe. On retrouve avec le NEF, qui calcule le jour du dépassement, un groupuscule jouissant d’une aura médiatique disproportionnée, diffusant un message anxiogène, simplifiant ce message à l’extrême et ne donnant pas le biais de son calcul. La manipulation des masses n’est pas loin.
Récemment les responsables d’Ecopop se sont défendus devant la presse. Le texte de leur initiative n'est pas raciste. Selon le directeur Andreas Thommen, «Il peut avoir un certain attrait pour les électeurs xénophobes, mais nous n'avons jamais voulu de ces gens».
Ce n’est pas la faute au capitalisme. Ni à personne. C’est l’humain et ce n’est pas une faute. Le désir d’avoir plus est aussi ancien que l’Histoire connue. Des tablettes du passé racontent la vie de l’époque. Par exemple cette lettre d’une épouse à son mari, un marchand en voyage, citée dans un documentaire sur l'âge de bronze sur la chaîne Planète: «Pendant ton absence les voisins ont construit deux maisons. Quand serons-nous en état de faire de même?»
«Toujours plus!» est une des grandes devises de l’humanité. Rares sont les populations ou groupes qui s’en affranchissent. A part quelques peuples aborigènes ou amérindiens d’Amazonie, la plupart des sociétés en veulent toujours plus. A une époque où l’on parle de décroissance, l’envie du Toujours plus touche tous les domaines.
Objet de méditation dans le bouddhisme zen, de contemplation pour les romantiques, et de poésie un peu partout, le nénuphar est une fleur à part, comme la rose mais dans un autre registre. Mais il prend actuellement un autre sens et représente symboliquement un paradigme de l’espèce humaine.