On le sait, la présence humaine aggrave les conséquences des extrêmes météorologiques. Dans de nombreux cas la part anthropique de ces désastres est indiscutable. Un article publié dans cairn.info fait le point à partir d’études de terrain.
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On le sait, la présence humaine aggrave les conséquences des extrêmes météorologiques. Dans de nombreux cas la part anthropique de ces désastres est indiscutable. Un article publié dans cairn.info fait le point à partir d’études de terrain.
Une remarque dans mon précédent billet m’a donné l’envie de résumer quelques points qui justifient le doute. Il ne s’agit pas de nier une montée des températures en de nombreuses régions de la planète. Il ne s’agit pas plus de refuser toutes les thématiques environnementales.
Le réchauffement actuel n’est qu’un sous-cycle dans la tendance générale à long terme de l’holocène. Il est peu significatif quand on le compare aux dix derniers millénaires. Et il est bienvenu. Car nous sortons d’une des périodes les plus froides depuis la dernière glaciation.
Peut-on encore soutenir une parole différente et un doute, quand 97% des scientifiques sont supposés convaincus par l’aspect anthropique de la variation climatique? On me fait parfois cette remarque. La non-adhésion à la pensée dominante serait déraisonnable. Je rappelais il y a deux jours que l’ancienne ministre de l’écologie Nathalie Kosciusko-Morizet traite même les dissidents de connards. Drôle de manière de mettre fin à la controverse.
Suite aux polémiques autour de la fiabilité des rapports sur les causes du réchauffement climatique, et suite aux critiques récurrentes de politisation, de procédures insuffisantes, d’absence de mention des controverses, de prise en compte insuffisante de certains paramètres, de conflits d’intérêts, de pensée unique, le Conseil inter-académique (IAC) a été chargé d’enquêter sur le GIEC.