Nos dirigeants recommandent de pratiquer une sobriété dans notre consommation de ressources. Qui dit sobriété dit réduction. Nous sommes invités à réduire cette consommation en modifiant nos comportements.
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Nos dirigeants recommandent de pratiquer une sobriété dans notre consommation de ressources. Qui dit sobriété dit réduction. Nous sommes invités à réduire cette consommation en modifiant nos comportements.
Si la nation est à mes yeux une forme positive de l’organisation des territoires et populations du monde, elle a aussi des inconvénients potentiels. J’en aborde ici trois, sur les questions d’économie, de défense et de Justice. Je les aborde dans des grandes lignes de fond.
Contre toute attente l’Amérique se porte bien et le Donald regagne en popularité. Deux ans du canard orange n’ont pas fait s’écrouler le pays, il n’a pas déclenché de guerre mondiale, et ses adversaires se radicalisent eux-mêmes en tentant de le diaboliser.
Le libéralisme économique prôné par Angela Merkel rencontre un vent contraire. Le gouvernement de RFA vient en effet de publier un décret l’autorisant à empêcher par veto la vente de certaines entreprises à des investisseurs d’hors de l’UE.
Il déclarait hier vouloir casser la baraque s’il est élu. Pourtant l’homme nous a habitué à la discrétion, à la réserve, à l’obéissance au chef plus qu’à être lui-même un chef. On voit mal FF donner du poing dans un débat.
Ils sont supposés le savoir. Ou alors c’est à manger son chapeau. Quoi!? Pas un seul conseiller pour les cadrer? A ce niveau il est donc possible, sans dommages, d’affirmer ce que que la presse nomme pudiquement des contre-vérités?
L’écologie est fondamentalement conservatrice. Son discours depuis quarante années est rempli de mots et expressions comme: conserver le patrimoine naturel, préserver les ressources, rétablir l’équilibre antérieur, sauver la planète contre la surconsommation. L’Homme est perçu idéalement comme un gardien de la nature, pas un exploitant. Ou alors un exploitant sage et mesuré, ne cherchant à satisfaire que des besoins fondamentaux.
Le mot «socialiste» porte en lui la racine «social». On pourrait confondre les deux mots ou penser que seul le socialisme s’intéresse aux relations entre les humains et à l’organisation de la société qui participe de ces relations.
Peut-on changer la France? Oui: en réformant sa territorialité. Les couches administratives de base qui servent de socle au maillage de l’Etat en France, sont anciennes. Ce sont les communes, les cantons et les départements. Par dessus, plus récentes, on trouve les intercommunalités et les régions, puis l’Etat central.
Quel que soit le résultat qui sortira des urnes ce 25 mai, l’Union sous sa forme actuelle restera la cible de critiques sévères. Cette critique est portée de manière visible par des mouvements souverainistes, vite qualifiés de populistes ou fascistes, mais pas seulement. A l’intérieur de chaque grand parti on trouve, peu audibles certes, des voix qui demandent une autre Europe.
L’idée d’unir la planète sous la direction d’un gouvernement unique, mondial, m’a longtemps paru être un objectif souhaitable. Ce serait peut-être la fin des guerres et des disparités excessives entre les populations. Aujourd’hui je vois cela d’un autre oeil.
Les attaques personnelles contre Vladimir Poutine laissent croire qu’il dirige le pays seul, en totale autocratie. Vision simpliste destinée à affaiblir son image dans l’opinion occidentale, dont il est attendu qu’elle soutienne les positions européennes et américaines.
D’accord, Nicolas, le remplacement de François doit être envisagé. Même pas deux ans et c’est une catastrophe. La France mise en coupe réglée par les staliniens roses, la famille piétinée, la laïcité érigée en religion, la discrimination anti-hommes à un niveau jamais atteint, la France dressée contre elle-même, des réformettes sans intérêt, la dette qui monte, l’emploi qui baisse, et l’impôt qui saigne particuliers et entreprises.
Cette réflexion sur la notion de patrie me fait voir la complexité de la question européenne. J’aborde ici l’avant-dernière étape de ma réflexion. Quel avenir voulons-nous pour l’Europe, si nous en voulons un, et si c’est encore possible? Quatre scénarii, dont voici deux premiers.
L’émotion exprimée autour de la personne de Nelson Mandela est comme toutes les émotions: absolue et incomplète. Absolue parce que nos rêves et nos propres espoirs y sont contenus, multipliés même quand celui que nous admirons représente ce que nous-mêmes n’avons peut-être pas réalisé. Il y a une fonction cathartique dans la célébration, qu’elle soit religieuse ou profane. Et autour de Mandela l’élan de sympathie est en partie religieux, dans la mesure ou il «relie» les humains dans une image idéale. Pour quelques heures ou quelques jours nous pensons être tous frère et soeurs. Cela fait du bien, parfois.
La démocratie politique et la démocratie économique devraient-elles fonctionner sur le même modèle? Si un peuple vote pour décider des choix politiques, soit directement soit par délégation, devrait-il aussi voter sur le pouvoir économique dans les entreprises? La démocratie politique et économique sont-elles du même ordre des choses?
Le libéralisme est une philosophie de vie d’une haute éthique et d’une grande exigence humaine. Pour mémoire je rappelle qu’il fut porteur de libertés: individuelle, intellectuelle, religieuse, commerciale, politique. C’est en son nom que l’on peut vivre de son travail ou que l’on reconnaît le droit à sa propre orientation sexuelle.
Un article paru fin juin mentionnait quelle serait la cause de la troisième guerre mondiale: les ressources naturelles. C’est la thèse d’une économiste d’origine Zambienne, Dambisa Moyo. Cette jeune femme travaille aujourd’hui avec la Banque mondiale et Goldman Sachs.
Ce n’est pas la faute au capitalisme. Ni à personne. C’est l’humain et ce n’est pas une faute. Le désir d’avoir plus est aussi ancien que l’Histoire connue. Des tablettes du passé racontent la vie de l’époque. Par exemple cette lettre d’une épouse à son mari, un marchand en voyage, citée dans un documentaire sur l'âge de bronze sur la chaîne Planète: «Pendant ton absence les voisins ont construit deux maisons. Quand serons-nous en état de faire de même?»
De mon précédent billet se dégageait une image plutôt idéale du libéralisme, à l’instar du résumé qu’en fait l’historien René Rémond. Mais la réalité n’est pas aussi simple et l’historien lui-même souligne les deux faces du libéralisme historique.