Le plus important ce 8 mars 2015 n’est pas la misandrie en creux ou explicite, ni l’humiliation des femmes désignées comme victimes par principe, on a l’habitude. A l’instar de ce site intitulé 8mars.info qui publie cet élément du credo (image 1) installé dans les esprits: «Pour montrer votre opposition à la violence des hommes envers les femmes, portez un ruban blanc...». Seuls les hommes sont désignés comme violents. Alors que toutes violences confondues ils en sont les premières victimes.
droits des femmes
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Vers une journée de l’homme ?
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Revue de presse : Léonarda - Alinejad
Ils sont seuls sur cette plage iranienne, au bord de la mer. La mer Noire. Noire comme l’habit des mollahs. Ils ont crié «Aline, ja, pour qu’elle revienne. » Aber foilà elle n’est pas revenue. Alinejad n’est d’ailleurs pas en Iran. Elle vit à New York.
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Les raisons d’une critique (4): procureures et chiffres
Nous avons vu que la violence de genre est la racine profonde, essentielle, permanente de l’idéologie. Les termes employés en 2014 ne diffèrent pas de ceux des années 1970. Il est toujours question de supposée suprématie masculine, de privilèges patriarcaux, de domination et d’oppression masculine, de solidarité entre femmes contre l’oppresseur.
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Salaires féminins: il n’y a pas de discrimination sexiste massive et élevée
La question du jour est: pourquoi annoncer jusqu’à 25% d’écart salarial entre les hommes et les femmes quand le vrai chiffre est de 5% à 7%? Y a-t-il réellement une discrimination sexiste dans les salaires? La femme est-elle «moins chère» que l’homme, comme l’annonce une affiche provocatrice? Non. Les données ci-après concernent la France mais il est probable qu’il en soit de même en Suisse. Le discours sur l’inégalité salariale vient de haut puisqu’il est proféré par une députée, Marie-Jo Zimmermann, membre de la Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes.