Le Grenelle des violences conjugales s’annonce fou, fou, fou! Première folie: la généralisation. Dans la presse écrite, sur les plateaux de télé, tout le monde dit: les femmes. Pas des femmes, mais les femmes, donc toutes les femmes.
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Le Grenelle des violences conjugales s’annonce fou, fou, fou! Première folie: la généralisation. Dans la presse écrite, sur les plateaux de télé, tout le monde dit: les femmes. Pas des femmes, mais les femmes, donc toutes les femmes.
Le président aborde son discours avec solennité. Il dit que la honte doit changer de camp. Il dit même que c’est une honte nationale. Puis il égrène quelques prénoms: Sophie, Anna, Emilie, Fatima, mortes comme 120 autres.