En demandant à Oprah Winfrey de galvaniser le peuple féminin lors des Golden Globes, les organisateurs ont-ils commis une bourde? Toutes occupées à la dénonciation universelle des hommes, aucune des participantes ne semble l’avoir relevé.
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En demandant à Oprah Winfrey de galvaniser le peuple féminin lors des Golden Globes, les organisateurs ont-ils commis une bourde? Toutes occupées à la dénonciation universelle des hommes, aucune des participantes ne semble l’avoir relevé.
Première manifestation de l’après Weinstein, les Golden Globes ont été hier une sorte de grande manifestation féministe et victimaire. Nombre de femmes présentes arboraient une robe noire, selon la consigne. Comme des veuves. Et leur parole s’est élevée haut dans la salle.
J’ai commencé à aimer l’Afrique subsaharienne, l’Afrique noire, en allant vers elle. Au milieu d’elle, jusqu’à habiter dans la case d’accueil d’un village à l’écart du monde connu, sans véhicule personnel pour me déplacer.
Il vient. Il arrive. Il est presque là. Quelque part dans la région de Bâle. Et lundi à Genève. Qui ça? Le Père Noël? Non, pas le père Noël, mais un cadeau qu’il apporte dans sa hotte: «Les contes de Crocodile River» (cliquer sur les images pour les agrandir).
Dur dur: Oprah Winfrey a-t-elle fait sa pub sur le dos d’une vendeuse d’une boutique de luxe zurichoise? S’est-elle servi de la Suisse pour se vendre? La question est inévitable.
Vous ne connaissez pas Jean Jésus Michael Ndulu. Moi non plus. Il vit peut-être en Afrique du sud. Près de la Crocodile River ou du fleuve Limpopo. Il passe une partie de ses journées à pêcher le poisson belonophago ou le phénaco pendant que sa femme et ses cousins battent le gros mil près de leur maison, au village, à huit kilomètres du marigot.