Les gens qu’on n’aime pas.
Il y a les gens qu’on aime. Parfois spontanément, pour un sourire ou un regard. Pour une expression du visage qui ranime notre usine à bonheur.
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Les gens qu’on n’aime pas.
Il y a les gens qu’on aime. Parfois spontanément, pour un sourire ou un regard. Pour une expression du visage qui ranime notre usine à bonheur.
Pour continuer sur le thème de mon avant-dernier billet, je pourrais mettre en question le droit de porter un jugement sur une personne en raison de particularités qu’elle présente.
Je ne sais plus qui disait que la littérature est un excellent outil pour les sociologues. On y trouve les thèmes d’une époque, les stéréotypes, les rêves collectifs, et même l’état des croyances sociales. La phrase de Sartre citée en titre, extraite de «L’idiot de la famille», en est un exemple.
Avez-vous déjà eu le sentiment d’être différent, et rejeté, classifié, étiqueté pour cette différence? Avez-vous déjà eu l'impression que votre tête, votre manière d'être, votre habillement, faisaient de vous un étranger, un exclu? Et avez-vous déjà constaté que le fait de penser différemment des autres dans un groupe donné n'engageait pas le dialogue mais plutôt le jugement et la stigmatisation?