Les universalistes (mondialistes, déconstructeurs) aimeraient sans doute que les nations n’aient plus d’identité. Les résidents seraient comme des passagers d’une croisière: de simples voyageurs de hasard, sans attache particulière.
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Les universalistes (mondialistes, déconstructeurs) aimeraient sans doute que les nations n’aient plus d’identité. Les résidents seraient comme des passagers d’une croisière: de simples voyageurs de hasard, sans attache particulière.
Jean-Luc parle de bonheur et de France heureuse. Marine dans ses trémolos porte tout le malheur du monde. Si j’étais français ce ne serait ni l’un ni l’autre. Les deux sont trop étatistes et leurs bouches sont prêtes à mordre.
2016 n’est pas 1930, pas plus que Mai 68 n’était Octobre 1917. Néanmoins le politologue François Cherix a pris la mesure du mouvement qui se lève. Il fait état de ses angoisses dans un article publié par Le Temps: « Notre temps a une furieuse odeur d'années Trente. »
Michael Moore vient d’appeler à manifester contre Donald Trump jusqu’à ce qu’il se retire. Parce qu’Hillary Clinton a obtenu plus de suffrages en nombre que son adversaire. C’est vrai. Pourtant la carte de l’élection montre autre chose d’intéressant.
Trois jours après l’élection je lis une critique dans un journal nord-américain: Donald Trump ne dit que ce que ses supporters ont envie d’entendre. Ce serait du populisme. Mais chaque parti ou candidat ne dit-il pas ce que son électorat veut entendre?
La surprise de ce premier tour est bien sûr le score de Marine Le Pen. Il faut attendre les résultats définitifs: est-elle vraiment à 20% de voix? Mais même à 19%, ou 18%, elle confirme l’implantation du Front National et d’un courant nationaliste fort en France.
Je ne sais plus qui disait que la littérature est un excellent outil pour les sociologues. On y trouve les thèmes d’une époque, les stéréotypes, les rêves collectifs, et même l’état des croyances sociales. La phrase de Sartre citée en titre, extraite de «L’idiot de la famille», en est un exemple.
Pourquoi traiter traiter les hommes de cochons ou les femmes de cochonnes avec un regard d’opprobre tout en retenant sa salive? Cette appellation devrait être une fierté: ne dit-on pas que «tout est bon dans le cochon»?
C’est Umberto Bossi, président et fondateur de la Ligue du Nord, qui soulève la question: «Au Nord, la gauche à disparu. Ses dirigeants doivent se demander pourquoi les ouvriers ne votent plus à gauche.»