C’est une part de sa marque de fabrique: le langage d’invectives, sans manières, frontal. Stratégie politique précise dans un monde qui étouffe de plus en plus sous le conformisme moral? Ou nature propre et caractère singulier du monsieur? Peut-être les deux.
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Langue de Trump
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Le Cercle des Poètes écrabouillés
Et un de plus. C’est la mode la plus hypocrite de ce début de siècle. Rihanna l’avait fait il y a quelques semaines. Elle avait tweeté «Free Palestine» puis l’avait retiré et s’était excusée. Explication d’un proche de la chanteuse: «Cela ne devait pas être un tweet. Rihanna lisait quelque chose sur le conflit israélo-palestinien, elle a cliqué sur un lien et l'instant d'après, ses fans lui demandaient pourquoi elle était pro-palestinienne».
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François Hollande chasse les tweets
L’annonce arrive en grandes pompes sur le net: François Hollande a instauré de nouvelles règles pour le nouveau gouvernement. Ces règles, relatives au Conseil des Ministres, montrent la grandeur du projet présidentiel. L’une d’elle est de faire siéger les ministres dans une salle plus petite.
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Vava Trierweiler efface tout et recommence
Fanfreluche a pris une grande résolution: elle a effacé les tweets de son compte. Vava et ses tweets c’est un peu comme le pompier pyromane avec un fer à souder dans une meule de foin. C’est à haut risque. C’est plus fort que lui. Comme la fable du scorpion qui voulait traverser la rivière.
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Ségolène-Vava: les enfants alimentent la guerre
On croyait que tout avait été dit. Que la saga socialo-élyséenne se calmait. Que Ségo avait vidé son sac et se mettait enfin à réfléchir à ses échecs. Que ses enfants n’allaient pas en rajouter une couche.
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Ségolène attaque fort
Je ne sais pas si elle a raison. D’un côté elle dit tout haut ce que beaucoup pensent. L’image du parti socialiste lors de la présidentielle de 2007 était la désunion. On n’a pas senti de soutien enthousiaste derrière la candidature de Ségolène Royal. Elle qui voulait tant être capitaine.
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Le silence assourdissant de Fanfreluche Trierweiler
Paris Match est un journal qui fait feu de tout bois. C’est son truc. Il y a une clientèle pour. Moi-même il m’arrive de le feuilleter en salle d’attente pour voir le bateau qui coule ou la robe blanche de Pippa (non, seulement la robe; d’ailleurs elle était de face...).