Il y a les bons noirs. les vrais. Et les autres. Skeleton Joe, le candidat pâle, connaît la différence. Il explique même à un noir ce qu’est être noir: c’est voter pour lui.
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Il y a les bons noirs. les vrais. Et les autres. Skeleton Joe, le candidat pâle, connaît la différence. Il explique même à un noir ce qu’est être noir: c’est voter pour lui.
À force, on finira par penser que le Donald a un projet politique. Je dis ça parce que depuis son élection, nombre de ses détracteurs le présentent comme fou, imprévisible, et sans fil conducteur.
C’est une part de sa marque de fabrique: le langage d’invectives, sans manières, frontal. Stratégie politique précise dans un monde qui étouffe de plus en plus sous le conformisme moral? Ou nature propre et caractère singulier du monsieur? Peut-être les deux.
La France vient d’annoncer sans rougir deux intentions de type protectionniste. C’est d’une part la création de hot spots pour migrants en Libye, afin de trier sur le sol africain les situations des demandeurs d’asiles et d’éviter que la marée humaine venue du sud ne prenne des risques mortels lors de la traversée de la mer.
Le libéralisme économique prôné par Angela Merkel rencontre un vent contraire. Le gouvernement de RFA vient en effet de publier un décret l’autorisant à empêcher par veto la vente de certaines entreprises à des investisseurs d’hors de l’UE.
La différence entre un terroriste et un soldat est que le premier se légitime de lui-même alors que le soldat est légitimé par une hiérarchie, une armée et un pays. Un terroriste, un tueur politique, est une sorte de soldat auto-produit qui ne dispose pas d’une validation par un Etat.
La véhémence serait-elle devenue un programme politique? A lire ou entendre certains débats sociaux ou politiques, cette question n’est pas décalée. Je comprends bien que nous sommes faits d’émotions, de coups de coeurs ou de gueule, de rages, entre autres. Mais est-ce bien raisonnable d’en faire le soubassement d’une pensée?