Montée des océans : moins dramatique qu’annoncée.
Les risques de submersion de côtes et de villes est mis en avant dans le discours alarmiste. J’ai lu quelque part que les océans pourraient monter entre 45 cm et plus d’un mètre d’ici à 2100.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Montée des océans : moins dramatique qu’annoncée.
Les risques de submersion de côtes et de villes est mis en avant dans le discours alarmiste. J’ai lu quelque part que les océans pourraient monter entre 45 cm et plus d’un mètre d’ici à 2100.
Après une semaine de panique médiatique on sait que la forêt amazonienne ne brûle pas. Du moins pas comme on se représente habituellement un incendie de forêt. L’image (1, clic pour agrandir) publiée par la Nasa est un leurre et un facteur anxiogène.
D’abord cette info surprenante. Une étude récente sur le réchauffement des océans a dû être modifiée après publication dans Nature. L’étude, très alarmiste, avait pourtant été révisée puis validée par un comité de lecture et publiée dans la plus prestigieuse revue scientifique au monde. Or la méthodologie et les conclusions de cette recherche étaient erronées.
Le réchauffement actuel n’est qu’un sous-cycle dans la tendance générale à long terme de l’holocène. Il est peu significatif quand on le compare aux dix derniers millénaires. Et il est bienvenu. Car nous sortons d’une des périodes les plus froides depuis la dernière glaciation.