Montée des océans : moins dramatique qu’annoncée.
Les risques de submersion de côtes et de villes est mis en avant dans le discours alarmiste. J’ai lu quelque part que les océans pourraient monter entre 45 cm et plus d’un mètre d’ici à 2100.
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Montée des océans : moins dramatique qu’annoncée.
Les risques de submersion de côtes et de villes est mis en avant dans le discours alarmiste. J’ai lu quelque part que les océans pourraient monter entre 45 cm et plus d’un mètre d’ici à 2100.
Nouveau rapport du GIEC, suite : températures, assourdissante angoisse.
Je continue mes recherches sur le climat. L’année 2022 est brandie comme l’exemple même du réchauffement du climat. Pourtant j’ai souvent documenté les grandes sécheresses et les canicules du passé, y compris les précoces comme lors de la terrible année 1947, qui faisait partie d’une série.
Oups ! La banquise de l’Antarctique yoyote de la touffe.
Cette amusante expression s’applique plus aux personnes qu’aux choses mais le continent blanc le vaut bien. Car il nous surprend: sa banquise fait du yoyo. Je m’explique.
Le boomer, on le sait, est cet individu né pendant le baby-boom entre 1945 et 1964. Sa génération ne comprendrait rien aux débats contemporains, elle est enfermée dans des préjugés datés et elle a ruiné la planète. Rien que ça.
Ce n’est pas moi qui le dis. C’est Le Centre National des Ouragans, le NHC (image 1, clic pour agrandir), à propos de l’Atlantique. Mais d’autres disent le contraire. Météo France propose, toujours pour l’Atlantique et sur la même période, un autre graphique (image 2).
(Première partie ici). Après avoir pointé les mensonges du GIEC, Steve Koonin va plus loin dans la critique de l’alarmisme des vecteurs dédiés à la peur: alarmisme des médias, des politiques et des militants. Il relativise le rôle du CO2.
La science aurait réglé la question climatique? Détrompez-vous. Voici un des scientifiques de haut niveau qui conteste les méthodes et les conclusions du GIEC. Il a pourtant été un des conseillers climat de Barak Obama.
Alors que depuis Noël l’Europe grelotte et que des records de froid sont battus en plusieurs régions, la presse a encore pris prétexte de la tempête Bella (et des autres) pour incriminer le réchauffement climatique. À tort, une fois encore.
Le 31 octobre 2018 le magazine Nature publiait un article alarmiste sur le réchauffement des océans. Il serait beaucoup plus rapide qu’on ne le pensait. Nature est une référence. Les articles sont supervisés et validés par des pairs. Les auteurs de l’étude sont des scientifiques de réputation mondiale.
C’est parti d’une note de synthèse de MétéoFrance: « Il n’est pas démontré d’augmentation sensible du nombre de cyclones sur l’ensemble du globe dû au réchauffement de la Terre durant ces dernières 50 années. Les experts de l’OMM et du GIEC s’accordent à avancer que cette tendance à la « stabilité » devrait se poursuivre … ».
Madame Vargas est auteur de romans policiers. Elle s’est fait un nom. Elle met aujourd’hui ce nom au service du salut de la planète. Elle s’en est ouverte dans un nouveau livre: L’Humanité en péril.
L’accumulation médiatique d’épisodes météorologiques extrêmes (comme dans l’Aude) donne l’impression d’une augmentation exponentielle et d’un encerclement continu d’événements alarmants. « Nous y sommes » est la petite phrase de 2018. Je rappelle que nous y étions déjà il y a 200 ans, et même 300 ans.
Avant d’aborder ce paradoxe, je signale que la Tribune de Genève a fait un effort d’objectivité à propos des inondations spectaculaires de lundi soir à Sion. En page 11, sous la plume de Julien Wicky, des experts répondent à la question: « Est-ce la conséquence du réchauffement ? »
La Tribune de Genève et le Matin sont-ils en concurrence caniculaire? Parce que le second annonce que le « Record absolu de chaleur » pour la Suisse a été battu hier. 36,2° à Sion. Oui mais non.
Une remarque dans mon précédent billet m’a donné l’envie de résumer quelques points qui justifient le doute. Il ne s’agit pas de nier une montée des températures en de nombreuses régions de la planète. Il ne s’agit pas plus de refuser toutes les thématiques environnementales.
En avril 2016 déjà une étude parue dans la revue Nature indiquait déjà que la pluviométrie observée au XXe siècle n’avait pas connu les extrêmes annoncés par les modèles des climatologues. Les modélisations, et ceux qui les élaborent, avaient surestimé les effets du réchauffement, en surestimant la réponse de l’atmosphère au forçage radiatif.
La poignante image d’un ours blanc affamé, à l’agonie, a été prise durant l’été semble-t-il. À cette période l’île de Baffin, au nord-est du Canada, est libre de glaces côtières. La ville d’Iqalut, dans le sud, connaît une température moyenne de 10° en juillet, avec certaines années des pointes autour de 20° (record: 26° le 22 juillet 2008). La banquise est donc normalement fondue à cette période.
Le réchauffement actuel n’est qu’un sous-cycle dans la tendance générale à long terme de l’holocène. Il est peu significatif quand on le compare aux dix derniers millénaires. Et il est bienvenu. Car nous sortons d’une des périodes les plus froides depuis la dernière glaciation.
Port Lavaca est une baie en cul-de-sac associée à la grande baie de Matagorda, entre Houston et Corpus Christi. Une configuration qui favorise l’élévation du niveau des vagues. C’est là que l’onde de tempête et la marée ont atteint la cote maximale lors du passage de Harvey: 2,10 mètres.
Les systèmes vivants complexes sont pourvus de mécanismes auto-régulateurs. C’est ce que l’on nomme les rétroactions. Celles qui amplifient un phénomène sont dite positives, celles qui l’atténuent sont dites négatives.