Saga du CO2 : l’Europe de l'ouest prend un coup de froid.
Depuis des semaines nous recevons d’importantes pluies accompagnées de températures nettement sous la moyenne. Pourtant les médias continuent à annoncer des records. Que se passe-t-il?
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Saga du CO2 : l’Europe de l'ouest prend un coup de froid.
Depuis des semaines nous recevons d’importantes pluies accompagnées de températures nettement sous la moyenne. Pourtant les médias continuent à annoncer des records. Que se passe-t-il?
Chaleur record au Brésil : plus d’infos.
Vous l’avez peut-être lu ou entendu: la température est montée à 62.3° à Rio de Janeiro. Attention: il s’agit de la température ressentie par un corps humain. Ce n’est pas la température mesurée avec un thermomètre.
Réchauffement : septembre 2023 (suite), ensoleillement record.
Les Belges feront-ils bientôt cuire leur frites au soleil? Je dis cela à cause de l’ensoleillement. À Uccle près de Bruxelles on a relevée 194 heures de soleil en septembre, contre 154 heures en moyenne. 25% de plus.
Réchauffement : septembre 23, un ovni météorologique.
Les pluies d’automne, longues, régulières, abondantes, sont revenues. Nous sommes dans courant zonal donc sous un régime de vents d’ouest. La solide dépression d’Islande ntraîne les perturbations dans son carrousel, et l’anticyclone des Açores est loin sur l’Atlantique. Il ne peut faire obstacle.
Nouveau rapport du GIEC, suite : températures, assourdissante angoisse.
Je continue mes recherches sur le climat. L’année 2022 est brandie comme l’exemple même du réchauffement du climat. Pourtant j’ai souvent documenté les grandes sécheresses et les canicules du passé, y compris les précoces comme lors de la terrible année 1947, qui faisait partie d’une série.
Enneigement, températures : quelques chiffres intéressants.
Nous sommes si oublieux. Il suffit d’un hiver peu enneigé pour que se déclenche une série de constatations qui vont de: c’était mieux avant, à: c’est le réchauffement, ou mieux: le climat est déréglé.
Oups ! La banquise de l’Antarctique yoyote de la touffe.
Cette amusante expression s’applique plus aux personnes qu’aux choses mais le continent blanc le vaut bien. Car il nous surprend: sa banquise fait du yoyo. Je m’explique.
La température moyenne à Genève a baissé de près d’un demi degré depuis janvier, comme le montre l’image 1 (clic pour agrandir) extraite du site prévision-meteo.ch. C’est possiblement un effet de La Niña.
Le dicton « En avril, n’ôte pas un fil », pourrait s’appliquer à ce mois de mai 2019. Dans l’ensemble les températures ont été mesurées entre 2 et 6 degrés en dessous de la moyenne par la station de Genève-Cointrin (image 1, clic sur les images pour les agrandir, source ici).
J’insiste sur les comparaisons, tant me paraît importante celle entre le climat présent et celui du passé. Le présent s’inscrit dans une continuité de plusieurs millénaires. Le passé nous vaccine contre la peur due à l’effet loupe.
Le réchauffement actuel n’est qu’un sous-cycle dans la tendance générale à long terme de l’holocène. Il est peu significatif quand on le compare aux dix derniers millénaires. Et il est bienvenu. Car nous sortons d’une des périodes les plus froides depuis la dernière glaciation.
L’été météo se termine dans cinq jours. On peine à le croire. Les fortes chaleurs attendues ne l’indiquent pas: la semaine qui vient pourrait être marquée par des températures de plus de 30°. Une fausse canicule car les nuits, plus longues, ont déjà fraîchi.
Ce janvier est le plus froid depuis 30 ans, annonce la Tribune de Genève. Il change des hivers relativement doux que nous connaissons majoritairement depuis deux décennies, qui contribuent fortement au réchauffement général des températures.
Le gouvernement français va faire économiser du blé à ses producteurs céréaliers. Du blé sonnant, de la money, pas de la graine. Parce que de la graine, justement, il y en a moins. L’agriculture a souffert de la météo printanière.
Canicule? Fraîcheur? Que sera l’été? MétéoSuisse a son idée. Et là, miracle ou scoop, on apprend qu’Einstein n’avait pas encore tout découvert de la relativité. La Tribune de Genève fait le point et relaie MétéoSuisse, sous la plume de Jean-François Mabut.
Mars voudrait nous rappeler l’hiver. Le ciel est repassé en flux de nord-ouest, après de longs mois en dominante sud-ouest. N’empêche: la Terre a pris un coup de chaud. On comprend mieux en voyant les images.
Alors que la saison des ouragans 2015 a été calme sur l’Atlantique nord, un hôte imprévu s’est invité du côté des Açores. Son prénom: Alex. Son statut: ouragan.
Peut-on encore soutenir une parole différente et un doute, quand 97% des scientifiques sont supposés convaincus par l’aspect anthropique de la variation climatique? On me fait parfois cette remarque. La non-adhésion à la pensée dominante serait déraisonnable. Je rappelais il y a deux jours que l’ancienne ministre de l’écologie Nathalie Kosciusko-Morizet traite même les dissidents de connards. Drôle de manière de mettre fin à la controverse.
En cent ans les techniques de mesure et la médiatisation, et la surenchère publique des événements, ont progressé de manière exponentielle. Rien n’échappe au grossissement phénoménal qui en résulte. Les interprétations qui s’en suivent peuvent relever du même grossissement.
Il y a El Niño, La Niña, et il y a le Blob. El Niño, tout le monde connaît. C’est un transfert des eaux chaudes du Pacifique ouest vers les côtes du Chili et parfois d’Amérique centrale. La Niña c’est l’inverse. Le grand océan balance de l’un à l’autre. Mais le Blob, c’est quoi?