La divergence entre modèles et réalité s’aggrave. On pourrait presque parler de divorce tant les chiffres prévus par le Giec et amplifiés par la presse se sont découplés d’avec les relevés sur le terrain. En clair, preuves à l’appui, la température réelle et observée de la troposphère est beaucoup plus basse que ce que les modèles informatiques prévoyaient.