On ne naît pas homosexuel, on le devient. C’est le thème d’une manifestation qui se déroule à Paris. L’objectif est annoncé: théoriser pourquoi et comment quitter l’univers homo.
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On ne naît pas homosexuel, on le devient. C’est le thème d’une manifestation qui se déroule à Paris. L’objectif est annoncé: théoriser pourquoi et comment quitter l’univers homo.
Dans les manifs lycéennes pour le climat on a vu apparaître de curieuses invitations. Sur de grands panneaux portés par certaines jeunes filles, on pouvait lire quelques slogans provocateurs à l’instar du célèbre et ancien « Faites l’amour pas la guerre » des hippies.
Un peu de légèreté mais pas de l’anodin. Cela se passe à Rochefort en Charente-Maritime, pas loin de La Rochelle. Une petite ville charmante de 24’000 habitants. C’est le quotidien Sud-Ouest qui relate le fait divers.
Face à une pensée présentée comme indiscutable (donc unique), il n’est pas seulement utile de mener une controverse: c’est une nécessité vitale. La controverse a toujours existé. Par exemple celle de Valladolid en 1550 et 1551, de célèbre mémoire, débattait de la question de la bonne manière de se conduire avec les indiens d’Amérique du sud et centrale.
C’est vrai, quoi, on n’en parle jamais, des xénophiles. Ils existent et semblent représenter la norme morale à partir de laquelle on juge les autres. A en croire d’ailleurs l’actuel clivage suisse mais aussi européen, la xénophilie est une vertu et la xénophobie un malheur.
La société de complémentarité est suspectée d’encourager à l’inégalité des sexes parce qu’elle favorise des stéréotypes ou des modèles de comportements fixes et cloisonnés. Dans l’imagerie dominante matraquée depuis quelques années, une femme ne pourrait être autre chose que mère et boniche, un homme que héros et maître absolu. Quelle imagination! L’univers manichéen et simpliste de la bande dessinée est entré dans la sociologie.
Nous avons vu que les femmes étaient actives et fortement impliquées dans la société. Qui sait encore qu’au Moyen-Âge les femmes pouvaient voter? Et qu’elles ont perdu ce droit à la Renaissance, et enfin à la Révolution et sous Napoléon Ier? L’historienne Régine Pernoud, entre autres, a documenté ce fait.
J’apporte ces précisions à mon précédent billet sur La Religieuse de Diderot. Qu’on l’ait lu ou non, ce qui suit sera aisément compréhensible. Le réalisateur a donc affirmé que l’histoire traite de la dominante patriarcale. Pour mieux démonter la fausseté de cette pensée unique, ce fourre-tout qui sert d’ersatz de pensée, je détaille les éléments que j’ai apportés précédemment.
C’est le comble. On sait que les hommes n’en fichent pas une rame à la maison, que le torchon leur brûle les mains et que le balai (de sorcière) s’envole avant qu’ils n’aient eu le temps de l’attraper. Et bien les hommes du PLR veulent faire le ménage.
L’hypothèse d’un matriarcat originel ayant précédé le patriarcat est apparue en Europe au XIXe siècle. Elle a été explorée et développée par le sociologue suisse Johann Jakob Bachoffen puis reprise par des féministes qui y voyaient une réhabilitation du pouvoir féminin, lequel pouvoir était - dans les textes - mis à mal par le Code Napoléon.
Dans les aventures de Bécassine, aujourd’hui: «Les Miss sont-elles des dindes?». Une amie française vient de me faire découvrir un texte de haute littérature, un morceau d’anthologie à propos des Miss France. Je le livre ci-dessous:
Je me suis bien amusé en écrivant mon précédent billet où il est question du gruppetto féministe de la Toison rouge. Le catalogue de revendications est digne d’un sketch. Rien que le mot «revendications»: tout un programme! On n’aspire pas à, on n’émet pas un voeux, on ne se donne pas les moyens de, non: on revendique. Tatatatam! Ce qui suppose un droit inaliénable que les autres doivent impérativement nous donner s’ils ne veulent pas passer pour réactionnaires. Ce féminisme-là est doué pour produire sa propre caricature.
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