À minuit je regarde quelques commentaires sur Facebook. Chacun prend parti selon des préférences que je connais déjà. Pas envie de cela. Dire autre chose. Être subjectif pour sortir de la fatigue qui me reste de ce débat médiocre.
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À minuit je regarde quelques commentaires sur Facebook. Chacun prend parti selon des préférences que je connais déjà. Pas envie de cela. Dire autre chose. Être subjectif pour sortir de la fatigue qui me reste de ce débat médiocre.
Quel que soit le résultat qui sortira des urnes ce 25 mai, l’Union sous sa forme actuelle restera la cible de critiques sévères. Cette critique est portée de manière visible par des mouvements souverainistes, vite qualifiés de populistes ou fascistes, mais pas seulement. A l’intérieur de chaque grand parti on trouve, peu audibles certes, des voix qui demandent une autre Europe.
Loin d’avoir épuisé le sujet, je clos ici pour le moment, avec ces deux autres scénarii, mes pérégrinations intellectuelles sur la patrie européenne. Cette Europe, mère de tant de sciences et de foi, des routes romaines au pèlerinage de Compostelle, et de douleurs, de Guernica à Saint-Pétersbourg et de Katyń aux goulags.