Pour une Europe à géométrie variable.
L’Union Européenne a mauvaise presse mais de bons côtés, comme celui d’avoir mis fin (jusqu’à présent) aux grandes guerres répétées du passé au moins sur une vaste part de son territoire.
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Pour une Europe à géométrie variable.
L’Union Européenne a mauvaise presse mais de bons côtés, comme celui d’avoir mis fin (jusqu’à présent) aux grandes guerres répétées du passé au moins sur une vaste part de son territoire.
Sa construction commencera en décembre. Il s’étendra sur 1’200 km le long de la frontière avec le Bélarus. La pression et le harcèlement migratoire ont conduit les autorités de Varsovie à prendre cette décision.
Il était presque touchant Mel E, quand il déclarait, avec une moue d’amertume, qu’Emmanuel Macron avait le point. Le combat contre la Loi travail a échoué. Pas d’union entre la France Insoumise et les syndicats. Pas de mouvement étudiant. Et si peu de monde dans la rue.
On sait que le programme de Marine Le Pen n’est ni fasciste, ni raciste. On sait par sondage que la majorité des français approuve certaines de ses thèses (61% souhaitent l’arrêt de l’immigration, entre autres). Pourquoi n’arrive-t-elle pas au pouvoir? Quels sont les freins?
« L’unité n’est pas l’uniformité »: pour une fois je félicite sincèrement Fanfrelande. Il a prononcé cette phrase lors du récent mini-sommet européen de Versailles. Il a ajouté: « C’est la raison pour laquelle je plaide pour qu’il y ait de nouvelles formes de coopération, pour de nouveaux projets, ce que l’on appelle des coopérations différenciées ».
L’Europe est une femme. Une femme qui, grâce à sa douceur et pénétration de pensée, augmentée d’un geste magique, pacifie ses ennemis et les digère. C’est ce que suggère un récent clip de l’Union Européenne.
L’ancien président poursuit sa stratégie de reconquête. J’ai déjà exprimé la gêne que m’inspire cette candidature-revanche. Néanmoins, et si une majorité de français ne souhaitent pas le voir face à Hollande au deuxième tour, il avance quelques propositions.
C’est ce que déclare Nigel Farage, leader des opposants à l’Union Européenne. Il ajoute même: « … la victoire des vrais gens ». Oups!… Parce qu’il y aurait des gens vrais, et donc aussi, par contraste, des gens faux? Curieuse distinction, vrai et faux!
Ils sont tous des Nafissatou Diallo. C’est pourquoi les réactions fort tardives de féministes aux violences de Cologne, expriment un tel désarroi. L’incohérence qui devait tôt ou tard éclater vient au grand jour. C’est fait.
J’évoquais hier le projet de fusion des régions présenté par François Hollande, sorte d’empilage sans dynamique particulière et découpage obéissant à de possibles pressions politiques sur le président. On ne voit pas en effet la justification de fusionner certaines régions et d’en laisser d’autres intactes.
Quel que soit le résultat qui sortira des urnes ce 25 mai, l’Union sous sa forme actuelle restera la cible de critiques sévères. Cette critique est portée de manière visible par des mouvements souverainistes, vite qualifiés de populistes ou fascistes, mais pas seulement. A l’intérieur de chaque grand parti on trouve, peu audibles certes, des voix qui demandent une autre Europe.
Si la Suisse n’est pas directement concernée, ces élections européennes devraient néanmoins l’intéresser. La votation du 9 février a fragilisé le partenariat de la Suisse avec l’Union Européenne et l’évolution de celle-ci ne saurait nous laisser indifférents.
La République de Donetsk est née. Pour combien de temps?
L’armée des putschistes tire sur les résistants et la population. Les milices au service du pouvoir tuent ou sèment la terreur. Le premier ministre, oligarque millionnaire, n’a fait qu’humilier la partie est et les russophones. A aucun moment les membres du nouveau pouvoir n’ont agit pour le bien de l’ensemble du pays. A aucun moment ils n’ont tenté de dialoguer en vue d’une solution nationale.
Le pro-européen que je suis est décontenancé à la lecture des propos sur la Suisse, après le vote du 9 février. Je n’en perds pas mes convictions mais la collection de vomissures venant de l’intérieur ou de l’extérieur du pays pourrait remplir un pétrolier.
Tant qu’à faire, soyons fous! Faisons preuve d’originalité et d’audace. C’est vrai quoi, laisser une bande de français appeler au boycott de notre pays sans réagir? Les voir solidaires de la commissaire luxembourgeoise Viviane Reding et ne pas marcher sur Paris? Guillaume Tell, au secours!
Loin d’avoir épuisé le sujet, je clos ici pour le moment, avec ces deux autres scénarii, mes pérégrinations intellectuelles sur la patrie européenne. Cette Europe, mère de tant de sciences et de foi, des routes romaines au pèlerinage de Compostelle, et de douleurs, de Guernica à Saint-Pétersbourg et de Katyń aux goulags.
Cette réflexion sur la notion de patrie me fait voir la complexité de la question européenne. J’aborde ici l’avant-dernière étape de ma réflexion. Quel avenir voulons-nous pour l’Europe, si nous en voulons un, et si c’est encore possible? Quatre scénarii, dont voici deux premiers.
J’écoutais hier une interview de Annie Lacroix-Riz, historienne et professeur d’histoire, auteur du livre: «Le choix de la défaite: les élites françaises dans les années 30». Elle analyse la décennie qui a mené à la deuxième guerre mondiale et à la défaite de la France en 1940.
J’écoutais hier une interview de Annie Lacroix-Riz, historienne et professeur d’histoire, auteur du livre: «Le choix de la défaite: les élites françaises dans les années 30». Elle analyse la décennie qui a mené à la deuxième guerre mondiale et à la défaite de la France en 1940.
Max Göldi a quitté l’ambassade de Suisse à Tripoli et s’est rendu aux autorités libyennes pour purger sa peine de 4 mois de prison. Rachid Hamdani a lui reçu son visa de sortie et est parti pour la Tunisie.