C’est dans l’air du temps en France et ailleurs en Europe, mais il faut un peu chercher. Ce n’est pas Zemmour, pas Ciotti, pas Le Pen. C’est plus ancien. C’était il y a trente-et-un an, à fin mars 1990.
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C’est dans l’air du temps en France et ailleurs en Europe, mais il faut un peu chercher. Ce n’est pas Zemmour, pas Ciotti, pas Le Pen. C’est plus ancien. C’était il y a trente-et-un an, à fin mars 1990.
Ces réflexions suivent mon avant-dernier billet sur la faiblesse de l’État qui favorise les trafics d’humains (de migrants). Les causes des migrations sont plurielles. Il y a la pauvreté et le désir de gagner mieux sa vie dans un pays plus développé. Le désir également de changer de culture ou de philosophie de vie.
On croyait que la stigmatisation était le fait principalement des populistes. Eh bien non. Ce simple mot populiste suffit à exclure moralement des millions de gens. La stigmatisation est largement répandue. Les exclusions, sociales et morales, se portent bien, soutenues par ceux qui prêchent l’inclusivité.
Si en théorie une gouvernance mondiale pourrait apporter de la paix au monde, je ne vois pas en pratique comment dépasser les écueils actuels. Il ne pourrait y avoir de gouvernance sans une délégation de pouvoirs. Le monde est en effet trop grand pour la démocratie directe.