On lui a aussi attribué un autre surnom: le bulldozer. Elle fait partie de ces êtres qui ont quelque chose de plus, quelque chose qui les porte et les pousse vers des accomplissements inattendus.
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On lui a aussi attribué un autre surnom: le bulldozer. Elle fait partie de ces êtres qui ont quelque chose de plus, quelque chose qui les porte et les pousse vers des accomplissements inattendus.
D’aussi loin qu’il me souvienne, nous étions déjà ensemble. Le monde alors était vaste et libre. Les étoiles paraissaient des signes. Quand une terre n’offrait plus assez de nourriture, nous en changions.
Peut-on changer la France? Oui: en réformant sa territorialité. Les couches administratives de base qui servent de socle au maillage de l’Etat en France, sont anciennes. Ce sont les communes, les cantons et les départements. Par dessus, plus récentes, on trouve les intercommunalités et les régions, puis l’Etat central.
Si en théorie une gouvernance mondiale pourrait apporter de la paix au monde, je ne vois pas en pratique comment dépasser les écueils actuels. Il ne pourrait y avoir de gouvernance sans une délégation de pouvoirs. Le monde est en effet trop grand pour la démocratie directe.
Ma bonne fée vient parfois me parler pendant mon sommeil. Elle s’introduit je ne sais comment, s’y installe comme un rêve, le bouscule et le chambarde, me lance un clin d’oeil et me fait signe d’écouter sans me réveiller. D’autres fois elle vient en volant d’un arbre voisin et se pose en amie sur le bord de la fenêtre ouverte, où elle m’entretient des choses de la vie et me demande si l’été sera chaud.
Un nouveau record du monde vient d’être réalisé: Stig Severinsen, un danois de 39 ans, a tenu 22 minutes la tête sous l’eau. Déjà détenteur de l’ancien record, Stig a voulu repousser ses propres limites. Il a réussi.
Ce fut un gros boulot. Créer le monde, aménager des montagnes, creuser des océans, planter des millions d’arbres! Il n’y avait pas de chômage. Le plein emploi assuré et un carnet de commande bien rempli. Il faut dire qu’il était seul à bosser. Il ne risquait pas le licenciement.
Il y a, jour après jour, tant à voir dans le monde. Même dans le petit espace de monde où mon regard va. D’une bataille de fourmis dans l’herbe d’un parc aux larmes de joie d’un amour retrouvé, d’un insolent éclat de soleil au regard d’une mère qui attend des nouvelles de ses enfants, chaque jour nos pas délimitent l’espace du possible.
Comme d’autres je trouve le slogan «Un monde en soi» peu heureux. On peut jouer sur les mots, mais «en soi» suppose quelque chose d’intérieur et non d’ouvert sur le monde. Le soi est lié à une introspection, pas aux fêtes de Genève. Les mots ont un sens, même pour les publicitaires. Et avec «Un monde en soi», il faut comprendre ce qu’on a voulu dire: la communication instantanée du message est ralentie et atteint des zones dialectiques du cerveau qui laissent place à une contre-proposition. Or ce ne devrait pas être le cas pour une bonne efficacité.
Cet homme n’a pas fait de compromis avec la liberté et la vérité. Ce qui l’a classé à part dans la pensée contemporaine. Sa liberté de style a aussi contribué à lui donner une place très personnelle.
- Jamais! Jamais je n’engagerai de discussion sur le bout du monde, dit Jay.
- Et pourquoi pas, demande Clara?
16 ans, c’est le début de tout
C’est la vie qui vient comme un sourire
Comme ton sourire
Comment se superposent les étapes de la connaissance? Quand nous voyons un tabouret, cela semble si simple. Nous disons: “C’est un tabouret”. Et pourtant, que de fonctions mises en mouvement pour énoncer cette si simple identification.
C’est fait, il est président. Cérémonie parfaite qui a ressoudé les américains dans une émotion partagée et dans une nouvelle dynamique, au sortir de l’enlisement de la présidence de Georges W. Bush. Bush qui a d’ailleurs été sifflé lors de son départ de la Maison blanche.
Un vrai coucou cette Ségolène. La voici qui vient se parer des plumes de l’oiseau rare du moment, Barak Obama.