Ces hommes-là sortent peu du bois. Ils restent discrets, protégés de la vue, n’en parlent pas. Ils en parlent d’autant moins que ce n’est pas dans l’ordre des choses. Ils n’ont pas à être des victimes eux aussi. L’ordre des choses serait qu’ils soient les méchants, ceux qui frappent et cognent.