Je classerais Louise Turcotte dans la déraison politique, à l’intersection de la folie personnelle, la dé-connexion du monde sensible, et l’outrance individuelle ou folie psychiatrique.
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Je classerais Louise Turcotte dans la déraison politique, à l’intersection de la folie personnelle, la dé-connexion du monde sensible, et l’outrance individuelle ou folie psychiatrique.
Elle n’est pas la seule féministe à penser ainsi. Mais elle le dit haut et clair, et tacle le lobby LGBT qui a pris le débat en otage. Selon ce lobby, ou on est pour la triade et l’on est quelqu’une de bien, tolérant, ouvert, ou l’on est contre et l’on est homophobe, d’extrême-droite et réactionnaire. Le simplisme devrait sauter aux yeux et pourtant bien des gens n’osent plus critiquer une personne homosexuelle, même quand elle est parfaitement conne, par crainte d’être stigmatisés. Et bien soyons stigmatisés, soyons-le joyeusement, et foutons-nous des petits tyrans LGBT. Rien à cirer de ces gens-là, qui causent beaucoup de tort à la cause homosexuelle.
Celle-ci, récente, est faite pour faire sourire. Mais le texte n’est pas innocent pour autant.
Crotte de crotte! Saperlipopette! Eh oui le débat que je vous ai annoncé n'aura pas lieu. Rien de grave rassurez-vous.