La femme trans et le gynécologue.
Ce n’est pas une blague. C’est réellement arrivé. Une femme transgenre – soit un homme qui se déclare femme – est allée consulter un gynécologue, accompagnée de con compagnon.
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La femme trans et le gynécologue.
Ce n’est pas une blague. C’est réellement arrivé. Une femme transgenre – soit un homme qui se déclare femme – est allée consulter un gynécologue, accompagnée de con compagnon.
Bonne année inclusive aux détériorés, aux restreints, aux étroits, et à tous les offensés du monde moderne. Et il y en a! On a vu précédemment que, pour des universitaires états-uniens, faire un pique-nique est offensant car supposément raciste. À tort, mais peu importe, c’est le progrès, paraît-il.
Clo-Clo avait ses Clodettes. Un spectacle en soi pour qui aime les potiches. Moi je les aime. À la télé ça fait le show. Transposons-les dans la campagne présidentielle américaine.
Je classerais Louise Turcotte dans la déraison politique, à l’intersection de la folie personnelle, la dé-connexion du monde sensible, et l’outrance individuelle ou folie psychiatrique.
J’étais resté sur une déchirure. C’est difficile. Cela ne se suffit pas. Le coeur s’arrête, en panne, à moitié au-dessus du précipice. Mais quelle utilité? Socialement la déchirure n’a aucune valeur. La scène est figée depuis trop longtemps, elle est devenue comme un décor habituel: l’occident a tort dans toutes les configurations imaginables. Il est au banc d’accusé. Tous les autres sont victimes. Forcément victimes.
Edwy Plenel dit n’importe quoi. A sa décharge, il n’est pas le seul. Candidats, journalistes, internautes s’appropriaient hier les morts de l’école juive de Toulouse. Le spectacle laisse songeur. Que les autorités politiques en place soient présentes est normal et protocolaire. Le rang de la personne qui se déplace fait mesurer la gravité ressentie de l’événement. Ici c’est le Président lui-même, représentant du pays entier. C’est sa fonction. Présence légitime donc.
C’est l’histoire d’une folie. Une histoire pas récente: elle date de 1979. Un texte de Luc Plamondon, auteur de Starmania, sur une musique de Christian St-Rock. Un texte troublant, sur le Parc Belmont, un parc d’attraction qui a envoûté les québecquois pendant 60 ans, un lieu culte aujourd’hui disparu.
Dorénavant il va falloir se surveiller. Et pas qu’un peu: n’appelez pas deux fois de suite votre ex, cela pourrait passer pour du harcèlement pathologique dû à un narcissisme pervers. Ne reprenez pas deux fois du dessert: trouble compulsif compensatoire.
Non, ce n’est pas une nuit d’amour passionnée, ni la descente du fleuve Congo en rafting et aux flambeaux. Encore moins la chasse à l’hippopotame blanc sur le Kilimandjaro.
La Cour d’appel de Trieste, dans le nord de l’Italie, a invoqué pour la première fois un lien entre un acte criminel et une prédisposition génétique. Un meurtrier d’origine algérienne a vu ainsi sa peine réduite de 9 à 8 ans de prison. Après une «psychologisation» que je trouve parfois excessive dans les affaires pénales, va-t-on arriver à une «génétisation» des comportements criminels?
Un correspondant anonyme (des fois ça sert l’anonymat) m'a fait parvenir cette photo récente d’un chef d’Etat terroriste en pleine démentification et se préparant à parler devant l’eau nue où son chameau a l’habitude de poser sa crotte.
16 ans, c’est le début de tout
C’est la vie qui vient comme un sourire
Comme ton sourire