La femme trans et le gynécologue.
Ce n’est pas une blague. C’est réellement arrivé. Une femme transgenre – soit un homme qui se déclare femme – est allée consulter un gynécologue, accompagnée de con compagnon.
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La femme trans et le gynécologue.
Ce n’est pas une blague. C’est réellement arrivé. Une femme transgenre – soit un homme qui se déclare femme – est allée consulter un gynécologue, accompagnée de con compagnon.
Revoir l’éducation des garçons (3) : difficile périphérie.
J’ai pris comme pierre angulaire de ma réflexion la dissymétrie femmes-hommes. Elle est marquée par la maternité, qui exige des protections particulières. Les hommes sont plutôt périphériques face à cette fonction première, même si leur participation y contribue.
Femmes et hommes nous subissons les assignations que la société a décidé pour nous. Par exemple être femme ou homme ne seraient pas lié au sexe biologique mais à une injonction sociale dictée par… on ne sait qui exactement.
Dans mon groupe de pétanque il y a une majorité d'hommes. Ce qui donne parfois des ambiances électriques. On se frite verbalement parfois, on gronde, roule les mécaniques. Il arrive qu'on se traite de cons. En général c'est la conséquence d'une pression excessive mise sur un joueur.
Une armée de vertueux sort du bois depuis quelques temps. De nombreuses pubs vantent un virage environnemental sans que l’on sache si c’est nouveau et bien réel.
Fini l’or des stades pour les vraies femmes. Elles se font surclasser par les femmes transsexuelles, c’est-à-dire des hommes biologiques ayant changé d’apparence et d’identité.
La politesse est au service de la gentillesse et du respect. Et la gentillesse est une facette de la bienveillance. Pas de quoi faire la Une des médias avec ça. Trop ringard et sans histoire.
Hier je me suis arrêté sur une phrase du dernier billet de Mireille Vallette: « 83 % des lycéens disent que les choses les plus importantes à enseigner aux enfants sont l’obéissance et le respect de l’autorité. »
Nous nous indignons. Nous dénonçons des offenses. Ce faisant nous pensons agir pour le Bien, et nous nous rangeons de son côté. Nous pensons être mieux. Il manque pourtant quelque chose.
C’est un mot fort, peuple. Chargé d’émotions et de mythes. Dont celui d’une masse homogène marchant derrière son chef. Parce que, si l’on y regarde bien, le mot peuple n’est jamais invoqué par le peuple lui-même mais par quelques-uns qui parlent en son nom – ou qui l’utilisent pour parler de manière indirecte en leur propre nom.
Un enfant est assis sur une banquette à côté de sa mère. Je le sais parce qu’il l’appelle maman. L’enfant, un petit garçon, a environ quatre ans. Sa mère lui apprend à compter sur les doigts. Il est ravi et s’investit dans le jeu.
Il y a globalement deux discours. Par l’un on fustige le concept de Nation, en particulier en Europe. Son slogan: la Nation c’est la guerre. Par l’autre on valorise les nations ethniques, minoritaires et parfois opprimées, ou sans terre.
Dans mon précédent billet je critiquais la contritionnite qui sévit dans notre occident un peu dérangé. Je n’ignore cependant pas l’importance des excuses, mécanisme fondamental des relations humaines. Pourvu qu’elles soient sincères et adressées à bon escient.
Ça balance pas mal, à Paris (Texas, USA). Cette fois c’est la chanteuse Katy Perry qui se fait reprendre. Après Weinstein et d’autres, elle voudrait montrer que la sexualité doit être festive et que dans une fête il y a des surprises. Vaya con Dios, Benjamin, te voici (presque) déniaisé!
Cette fois la cible est Christine Angot. Chroniqueuse chez Ruquier, également écrivain, elle a eu des mots peu appréciés: « Etre artiste, c’est toujours le résultat d’un échec, d’un plan B. » C’est ce qu’elle pense.
Jean-Marie Bigard n’est pas seul à faire dans le lourd bien gras et provocateur. Il ne fait pas dans la dentelle. On se souvient de son Lâcher de salopes tout en délicatesse… Avec Laura Laune les amateurs de finesse bien léchée et pasteurisée repasseront. Car l’air de rien elle tape et provoque.
Dans les forêts sauvages les arbres ont une « vie sociale » intense. Ils s’entraident et s’envoient des messages au moyen de leurs composés organiques volatiles, véhiculés par l’air comme par un wifi, ou au moyen des racines, reliées entre elles par des kilomètres de filaments mycéliens.
En viendrons-nous à regretter Kadhafi? La Libye, livrée aux tribus et roitelets, fait à nouveau ce que la culture régionale a longtemps considéré comme normal: le commerce d’êtres humains. Hommes et femmes peuvent être achetés et revendus aux fins de servir de nouveaux maîtres. La route vers la liberté s’achève dans une cage.
En août, la municipalité d’Amsterdam recommandait à ses employés d’éviter autant que possible les termes Monsieur et Madame. Elle préconisait l’usage d’un langage plus neutre, non sexué, pour les personnes souffrant de dysphorie de genre. Pourquoi?
Le Canada vient d’autoriser la mention « X » pour désigner le sexe de personnes qui ne s’identifient ni comme femmes ni comme hommes. Mais existe-t-il vraiment un sexe neutre? Ou la vérité est-elle ailleurs comme dans la série X-Files?