La Procréation médicale assistée n’est un droit pour personne. C’est un moyen pour que les couples, dont l’un des partenaires est stérile, puissent procréer. Or procréer n’est pas un droit, c’est un fait de nature.
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La Procréation médicale assistée n’est un droit pour personne. C’est un moyen pour que les couples, dont l’un des partenaires est stérile, puissent procréer. Or procréer n’est pas un droit, c’est un fait de nature.
Elle n’est pas la seule féministe à penser ainsi. Mais elle le dit haut et clair, et tacle le lobby LGBT qui a pris le débat en otage. Selon ce lobby, ou on est pour la triade et l’on est quelqu’une de bien, tolérant, ouvert, ou l’on est contre et l’on est homophobe, d’extrême-droite et réactionnaire. Le simplisme devrait sauter aux yeux et pourtant bien des gens n’osent plus critiquer une personne homosexuelle, même quand elle est parfaitement conne, par crainte d’être stigmatisés. Et bien soyons stigmatisés, soyons-le joyeusement, et foutons-nous des petits tyrans LGBT. Rien à cirer de ces gens-là, qui causent beaucoup de tort à la cause homosexuelle.
Le dogme du droit à l’enfant produit une marchandisation des bébés, comme l’affaire thaïlandaise le montre. La GPA et la PMA, utile aux couples hétérosexuels infertiles et presque indispensables aux couples homosexuels, ne sont qu’un effet collatéral de cette supposée égalité dans le droit à l’enfant.
L’affaire du bébé refusé par ses parents adoptifs australiens fait des vagues. Sur les réseaux sociaux une quête a été lancée pour opérer le petit garçon, atteint d’une malformation cardiaque dont la nature n’est pas révélée. L’association qui a lancé cette quête a recueilli 140’000 euros. De quoi l’opérer et lui apporter des soins sur une longue période.
A un degré ou à un autre l’eugénisme fait partie de notre monde. La question n’est pas d’être pour ou contre l’eugénisme - qui refuserait l’idée que son enfant puisse naître sans risque de handicap? - mais de distinguer les différents types d’eugénisme, et qui prend la responsabilité de mettre en place une pratique médicale ou hygiénique eugénique.
L’excellent magazine en ligne et papier Causeur a fait un premier bilan du mariage homo un an après son instauration en France. Il rappelle d’abord que le mariage gay a aboli le droit fondamental et anthropologique à une double filiation paternelle et maternelle. Puis l’auteur, Pascal Bories, livre quelques chiffres et observations.
Les Verts libéraux lancent une initiative parlementaire en vue de rendre possible le mariage entre personnes de même sexe. Le débat français, dont on se souvient encore de la violence et de l’incroyable stigmatisation subie par les opposants, va donc trouver une suite dans notre pays.
La différence biologique reste selon moi normative des places respectives des femmes et des hommes. On peut dire qu’il y a une référence spécifique à chaque sexe. Elle a donné lieu à l’adage: «Les femmes et les enfants d’abord». Il y a là une idée qui spécifie une attention différente accordée aux deux sexes. Le but en est est la préservation et le bien-être de l'espèce. Préserver les femmes c’est assurer une descendance nombreuse qui assure la survie du clan ou de la famille.
Il y a quelques jours paraissait une information selon laquelle les actes d’homophobie avaient augmenté ces derniers temps au Cameroun. La politique du pays est ouvertement opposée à l’homosexualité.
Un article du Monde hier rappelle qu’initialement le projet de mariage gay devait inclure l’assistance médicale à la procréation (AMP, ou PMA) pour les couples lesbiens. Il semblerait que tant François Hollande que les députés de la majorité y ont renoncé en constatant la puissance de la réaction populaire.
Rien ne semble capable d’arrêter le marché. Le capitalisme a réussi à changer profondément la société, plus que toute idéologie politique, sur le principe que le commerce est une des premières libertés sociétales. Inclure la plupart des activités humaines dans la liste des produits négociables est audacieux.
Alces alces est son nom latin. En français cela se traduit par «élan». Une grosse bête à poils et à cornes voisine du renne et du cerf. Lequel cerf, comme chacun sait, ne s’use pas si l’on n’y touche pas.