L’Europe est une femme. Une femme qui, grâce à sa douceur et pénétration de pensée, augmentée d’un geste magique, pacifie ses ennemis et les digère. C’est ce que suggère un récent clip de l’Union Européenne.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
L’Europe est une femme. Une femme qui, grâce à sa douceur et pénétration de pensée, augmentée d’un geste magique, pacifie ses ennemis et les digère. C’est ce que suggère un récent clip de l’Union Européenne.
L’horizon de la variété et du divertissement télévisuel descend encore d’un cran. Visuellement, je veux dire. On n’achète plus une musique, ni le visage ou la personnalité d'une interprète: on achète des images de cul. Notre société n’en a pas fini de tenter de se réconcilier avec le sexe.
Je n'ai pas encore parlé des places roses. Au prochain coup. D'abord la pub pour Twingo et la critique acerbe sur Twitter. J’ai quelques difficultés à souscrire à cette critique. Je vois surtout l’humour, un humour bien stéréotypé, oui. L’humour fait souvent dans le stéréotype. Une blague belge suscite le sourire à cause des comportements que l’on attribue aux belges. Il n’y a pas de prétention de vérité. On ne sait même pas d’où cela vient. Idem pour les blondes, dont personne n’imagine qu’elles soient particulièrement idiotes, mais dont on se régale des bourdes et du narcissisme ravageur qu’on leur prête. Elles-mêmes en rien souvent, et les brunes ne s’en régalent pas moins que les hommes.
Totalement inédit, voici un clip rythmé pour cette chanson dansante et ensoleillée. D’où est venue l’idée? D’une phrase d’un sage lue il y a quelques années, qui disait en substance: «Pour connaître l’autre, marche dans ses chaussures». Marcher dans les chaussures c’est comme marcher dans les pas.
(Le clip est en fin de billet)
On a parlé abondamment de ces «chattes en insurrection» (traduction de Pussy Riots). Le quotidien Le Courrier leur a consacré deux pages dans son numéro du 25 août. Avec un titre en grand: «L’insurrection féministe». «Les mésaventures des Pussy Riot auront-elle le mérite de relancer le Girl power?» Quel est donc ce mérite du Girl power, à part de faire vendre et de casser du sucre sur les mecs?
Si les candidats évincés dimanche se disent peut-être, après des mois de pression harassants, «P***n de campagne», ici ce sont les potins de campagne qui seront évoqués. Les petits faits divers, le cortège de «l’Elektion Tour» qui jette ses babioles sur le bord de la route aux consommateurs-spectateurs médusés, et les pseudo-scandales qui alimentent la machine à jaser.
Grosse colère. Le nouveau clip de m... sur la violence conjugale diffusé en France est grave. Très grave. Les connes, elles ont recommencé! Les connes de féministes, le gynécée des pitbulles, les suceuses du fric des contribuables. Car c'est forcément elles qui sont derrière cela, depuis le temps qu'elle font de ce thème leur fond de commerce lucratif.
Serait-ce déjà le déclin de la Gaga? Tout va si vite aujourd’hui. Mettre autant d’argent dans un clip c’est assurément vouloir rajouter de la valeur à une artiste qui n’en a pas vraiment besoin, ou alors c’est forcer la vente d’une song qui n’a rien de très marquant.
Celle-ci, récente, est faite pour faire sourire. Mais le texte n’est pas innocent pour autant.
J’ai écrit cette chanson il y a juste deux ans. Elle fait partie de mon histoire personnelle. Elle reflète un moment où j’allais vers une épreuve parmi les plus dures qu’il m’ait été donné de vivre.
Celle-ci c’est ma petite dernière. Elle date d’il y a deux semaines, encore toute fraîche.
Certains l’ont remarqué en m’en ont fait part: le lien sur mon billet d’avant-hier n’a pas fonctionné à au moins deux reprises.
Ce soir je souhaite vous proposer des choses plus perso. Certains savent déjà qu'en plus d’être naturopathe et coach, d’avoir subi une malveillance judiciaire grave dans ma vie, je suis aussi assez créatif: musique, écriture.