Dans le nord de l’Allemagne la rivière Tollense étire ses méandres sur une plaine aux lignes douces. Des tourbières, des prairies et quelques forêts dessinent ce paysage où l’on pourrait s’attendre à voir surgir des elfes et autres habitants légendaires. Mais ce que l’on y trouve avec certitude ce sont des fantômes de guerriers du passé.
edgar morin
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De quand date la guerre?
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30 ans après, le faire-part de la gauche
Je me souviens exactement où j’étais le 10 mai 1981: à la campagne avec ma compagne. Il y avait peut-être aussi des amis, de cela je ne me souviens plus. Nous avons écouté le résultat de l’élection à la radio de la voiture. Et dans ce soleil qui caressait les champs de colza et de petits-pois, ou de je ne sais quoi, nous avons sauté de plaisir.
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L'identité ultime (deuxième partie)
Dans la première partie je propose le constat que le lien entre un individu et le territoire d’où il vient est un lien naturel. Le fait d’être né dans un pays, d’en posséder une pièce d’identité, d’y avoir de nombreux souvenirs, d’en parler la langue, marquent profondément l’identité. C’est l’identité-racine, soit la reconnaissance de qui nous sommes et des fondements territoriaux, culturels et sociaux qui font de nous un individu qui vient de quelque part.
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L'identité ultime (première partie)
J’écoutais Edwy Plenel chez Ruquier cette nuit. J’écoutais sa critique des institutions et de l’hyperprésidence, cette hyperprésidence qui a été à une époque plébiscitée par les français afin que le pays sorte de l’enlisement parlementaire de la 4e République. Sur la fin je l’écoutais sur le racisme et sur la notion d’identité qui fonde le racisme.
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L’animalité de l’amour
Je cède la plume à Edgar Morin, dont je cite ci-après un extrait de son court livre «Amour, Poésie, Sagesse». Le regard que pose Edgar Morin sur le monde, sur la pensée et sur l’humain m’inspire parmi les plus fécondes réflexions. Ici, on est juste dans la simplicité d’une observation.