Dans la première partie je propose le constat que le lien entre un individu et le territoire d’où il vient est un lien naturel. Le fait d’être né dans un pays, d’en posséder une pièce d’identité, d’y avoir de nombreux souvenirs, d’en parler la langue, marquent profondément l’identité. C’est l’identité-racine, soit la reconnaissance de qui nous sommes et des fondements territoriaux, culturels et sociaux qui font de nous un individu qui vient de quelque part.
émigration
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L'identité ultime (deuxième partie)
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L'identité ultime (première partie)
J’écoutais Edwy Plenel chez Ruquier cette nuit. J’écoutais sa critique des institutions et de l’hyperprésidence, cette hyperprésidence qui a été à une époque plébiscitée par les français afin que le pays sorte de l’enlisement parlementaire de la 4e République. Sur la fin je l’écoutais sur le racisme et sur la notion d’identité qui fonde le racisme.
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L’émigré
Le silence couvre les fenêtres. On l’attend depuis longtemps. Il fait partie des mots qu’on ne dit plus. Pour ne plus y penser, pour ne plus l’attendre. Tout est plus dur. Il faut tenir, il faut vivre.
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Quand les suisses étaient mendiants
Ce n’est pas si ancien: un peu plus d’un siècle. A l’époque, le pays n’arrivait pas à nourrir tous ses citoyens, et de grandes famines sévissaient périodiquement. La faim et l’absence de débouchés dans le pays ont forcé nombre d’habitant à émigrer.
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Hommes: n'émigrez plus au Québec!
A moins de vouloir finir en prison sans savoir pourquoi ni comment. En effet la misandrie, déployée par les mouvements féministes radicaux, a contaminé la justice et l'Etat à un point rare.