L’article de la Tribune paru sous la plume de Sophie Roselli commence par ce gros titre. J’y rajoute le «Vraiment?» Parce que ce titre alarmiste mérite d’être disséqué. D’abord d’où vient ce chiffre? D’une étude réalisée par un criminologue, Martin Killias. Etude dont je n’ai pas trouvé le détail ni la méthode. Je me baserai ici sur les éléments apportés par le quotidien genevois et sur une autre étude de 2012-2013.
solidarité femmes
-
«A Genève, une femme sur trois a subi des violences». Vraiment?
-
Violence conjugale: nouveaux chiffres, nouvel enfumage
Comment s’y prendre pour enfumer le pays? Par le bluff. Commençons par les titres de quelques quotidiens français. Le Monde: «Violence conjugale: le 3919 a traité 42 140 appels en 2011». Il précise: «La majorité des coups de fils pertinents concernaient directement des cas de violences conjugales, le reste portant sur des demandes d'information ou d'autres violences.»
-
25 novembre: lettre ouverte à Solidarité femmes
Autant hier le chaman m'inspirait une révolution pacifique, utopique et essentielle, une révolution bienveillante qui pourrait changer le monde en quelques années pour en faire un lieu de fête, autant aujourd’hui je dois reprendre les armes et retenir ma colère. Une grande colère que je formule ci-après dans cette lettre ouverte à un groupe polluant. La violence contre l'homme est telle que les choses doivent être dites avec force pour susciter un juste effroi et exprimer une légitime révolte. Si l'humain dispose d'émotions, elles doivent parfois oser porter le discours au-delà des convenances et lui donner valeur de cri. Puisse la Terre m'entendre.