Une armée de vertueux sort du bois depuis quelques temps. De nombreuses pubs vantent un virage environnemental sans que l’on sache si c’est nouveau et bien réel.
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Une armée de vertueux sort du bois depuis quelques temps. De nombreuses pubs vantent un virage environnemental sans que l’on sache si c’est nouveau et bien réel.
Valérie Trierweiler n’est pas aimée. Ses manières dominatrices, sa volonté de n’en faire qu’à sa tête une fois à l’Elysée, le tweet assassin sans aucun respect pour son compagnon, entre autres, ont donné d’elle l’image désastreuse d’un dragon. Elle s’est présentée comme rebelle, alors qu’elle semble plutôt caractérielle.
La volonté de transparence politique a quelques effets cocasses. Comme les patrimoines à taux variable et le formidable engouement sportif de ministres ayant renoncé à la voiture. L’ennui de ce déshabillage est que tout propos approximatif devient suspect.
Mark Muller a relancé malgré lui un débat vieux, pas comme le monde, mais au moins comme les grecs. Ces grecs qui avaient une toute autre notion que nous de la vie d’un personnage public.
L’attentat de Stockholm n’a heureusement fait qu’une victime: le combattant d’Al Qaeda. Néanmoins il rappelle qu’un homme seul peut semer la terreur dans n’importe quel point du monde. Il contribue aussi à amplifier la paranoïa des occidentaux et le rejet viscéral et sans nuance de l’islam.
Je ne suis pas fan de Julian Assange. Son opacité, l’opacité du site Wikileaks, celle des donateurs, des collaborateurs, des financements, sont en grande contradiction avec l’exigence de transparence affichée. «Faites ce que je dis mais pas ce que je fais».
Dans une interview accordée au quotidien espagnol El Pais et retranscrite aujourd’hui par par Tribune de Genève, Julian Assange, le porte-parole très médiatique de Wikileaks, met en demeure le président Obama de s’expliquer ou de démissionner.