Mon précédent billet se terminait ainsi: « Le productivisme présente cette contradiction qu’à la fois il permet la survie de l’espèce dans des conditions inespérées, et la pousse en même temps au bord du précipice de la saturation et de l’insignifiance. » J’en dis un peu plus.
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Le précipice d’insignifiance
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Cop21 (7) : Aspects du productivisme
« La Terre n’appartient pas à l’Homme, c’est l’Homme qui appartient à la Terre ». Cette phrase attribuée au chef indien Seattle, de la tribu Suquamish, a été l’une des balises philosophiques de ma jeunesse.
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Qui en veut à Maud Fontenoy ?
C’est pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme, chante Renaud. Elle prend aussi la femme parfois. Et la rend ensuite. La rend célèbre. De cette célébrité la femme fait usage. C’est légitime. On ne traverse pas les océans à la rame sans quelques mérites.
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COP21 (6) : un accord politique pour un objectif inatteignable
Il y aura forcément un accord aujourd’hui sous quelque forme que ce soit. La conférence n’offre pas de suspens. C’était préparé. Par contre à l’heure où j’écris on ignore encore quelle en seront les points précis. Mais une chose est déjà calculée: l’objectif de l’accord est inatteignable s’il suit les engagements préalables faits par les pays avant le début de la COP21.
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COP 21 (5) : ni peur ni punition
En parlant hier de l’océan austral, sujet que je pensais neutre et fédérateur, j’ai réalisé qu’il était contaminé lui aussi. Par qui? Je n’en sais rien. On ne sait pas qui lance une légende. Celle des 1’000 ans en l’occurrence.
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COP 21 (4) : l’emportation
Peut-on encore soutenir une parole différente et un doute, quand 97% des scientifiques sont supposés convaincus par l’aspect anthropique de la variation climatique? On me fait parfois cette remarque. La non-adhésion à la pensée dominante serait déraisonnable. Je rappelais il y a deux jours que l’ancienne ministre de l’écologie Nathalie Kosciusko-Morizet traite même les dissidents de connards. Drôle de manière de mettre fin à la controverse.