C’est peut-être tôt pour en faire une belle histoire: il reste trois étapes avant le Graal européen. Mais l’émotion collective qui a saisi tant de Suisses jusque dans les quartiers de banlieue est belle à voir et entendre.
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C’est peut-être tôt pour en faire une belle histoire: il reste trois étapes avant le Graal européen. Mais l’émotion collective qui a saisi tant de Suisses jusque dans les quartiers de banlieue est belle à voir et entendre.
Si un jour la France prenait exemple sur la Suisse, ce serait dans très longtemps. La distance qui sépare les mentalités et les coutumes intellectuelles est grande. Néanmoins la question n’est pas sans intérêt ni fondement. Je la pose à la suite du psychodrame politico-civilisationnel qui agite l’Hexagone, bataille dont l’enjeu est la domination intellectuelle du pays à gauche comme à droite. La gauche ne s’y est pas trompée, qui réagit si fort. Signe que le message fait mouche.
Cette anecdote insignifiante avait fait beaucoup de bruit: Gérard Depardieu urinant sur la moquette d’un avion au décollage! L’imagination des commentateurs amplifiait déjà la chose: il aurait uriné tout son saoul sur le sol. Peu après, on apprenait qu’il avait uriné dans une bouteille et que cela avait débordé. Il vient de clore l'affaire avec beasucoup d'humour.
On en apprend des choses en lisant Mesdames et Messieurs la Presse et les Médias, comme disait Blondesen à qui j’envoie ici des pensées du coeur. On apprend sur la sexualité des amateurs de jazz et sur le yaourt qui surnage dans la boîte crânienne de Frank Ribéry.
Je ne vous attendais pas là. Récemment encore, dans «Panique dans l’oreillette», vous faisiez belle figure. Nous apprenions votre enfance de battante, de garçon manqué il me semble. Que de délicieux secrets vous et vos proches avez partagé avec le public à cette occasion.