Belle histoire (30) : le bon geste.
Mon premier se prénomme Maxime. Il a 21 ans. Il est éducateur sportif, joueur et entraîneur. Mon second s’appelle Georges Eddy. Il a 67 ans. Il est journaliste sportif spécialisé dans le basket.
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Belle histoire (30) : le bon geste.
Mon premier se prénomme Maxime. Il a 21 ans. Il est éducateur sportif, joueur et entraîneur. Mon second s’appelle Georges Eddy. Il a 67 ans. Il est journaliste sportif spécialisé dans le basket.
Belle histoire (29) : … et la vie revint à Loèche.
Contrairement aux apparences, les feux de forêt ne détruisent pas la nature. Cette phrase est le titre d’une information de la RTS. Le sujet: 20 ans après le grand incendie de la forêt proche de Loèche-les-Bains, en Valais, la résilience de la nature est époustouflante.
Belle histoire (28) : autrefois coulait un ruisseau.
Histoire végétale aujourd’hui. C’est un parc, petit, d’une commune genevoise. D’un côté une route le borde. De l’autre, de grands arbres plus que centenaires abritent écureuils et oiseaux.
Belle histoire (27) : le défi d’Icare.
En regardant sur RMC un documentaire intitulé Inside Air France, je repensais à l’extraordinaire aventure de l’aéronautique. En 2023 chaque avion est devenu l’objet d’une infinie attention et d’un soin fascinant.
Belle histoire (26) : Elsa cœur de pierre.
Elle ne parle pas plus qu’il ne le faut, et au fond il le faut peu. Son extrême concentration interdit tout verbiage futile ou même pédagogique. À vingt-quatre ans elle termine dans la méditation de ses mains un parcours commencé sept ans plus tôt.
Belle histoire (25) : et la lumière fut.
Il est né à Milan mais n’a rien à voir avec l’Italie. C’est Milan dans l’Ohio aux Etats-Unis. Le jeune Thomas n’est pas à l’ouest pour autant. Petit il dévore des livres et installe son labo personnel de chimie vers 10 ans.
Forêt miracle en Amazonie.
Le photographe a parcouru le monde pour fixer les mines à ciel ouvert ou le génocide au Rwanda. Puis il est retourné dans son Brésil natal, au Minas Gerais. A la place des forêts de son enfance il n’y avait plus qu’un pâturage sans arbres et à la terre sèche et peu fertile.
Rayane au paradis.
Je n’aime pas cette émission. Sa tendance larmoyante est gonflante. Mais s’y présentent parfois de réel talents, incroyables ou non. C’est le cas de Rayane, vainqueur cette année.
Une histoire particulière aujourd’hui. Je jouais à la pétanque dimanche, avec des amis, quand soudain un nuage s’est mis devant un de mes yeux. Cela ressemblait aux mouches que l’on peut avoir parfois et qui disparaissent toute seules. Mais ce n’était pas un nuage.
Après la traversée de Cuba. de la Floride et des deux Caroline l’ouragan Ian va mourir dans les terres de Virginie. Joe Biden le qualifie déjà d’historique. Regardons de plus près.
C’est une histoire naturelle. Celle de la forêt, encore. Deux mois après les feux dans le département, feux parmi les plus ravageurs depuis un siècle, les premiers signes du renouveau sont là.
Dans l’actualité douloureuse du monde il y a toujours des îlots de beauté. Celui-ci vient de Passe-moi les jumelles, une émission de la télé romande qui vous fait aimer le petit écran. Elle passe sur la RTS le vendredi soir après le JT.
Je n’ai aucun talent de cavalier. J’ai rarement approché les chevaux, sauf une fois où j’ai fait quelques tours d’enclos sur un brave vieux canasson digne et prévisible.
Sur scène on l’appelait René Lavand. C’était un magicien argentin. Il faisait des tours, de cartes et d’autres. Avec une particularité: il était manchot.
Je n’étais pas fan. Pendant longtemps j’écoutais d’une oreille distraite, comme une musique de fond. Je résistais au personnage, qui en faisait trop à mon goût. Tous ces déballages sentimentaux, ces omelettes baveuses d’émotions sans pudeur, c’est trop, je ne peux pas.
Copenhague, Londres et Cambridge: trois universités traquaient son origine. Ils l’ont trouvée dans la culture natoufienne, à Shubayqa, sur le territoire du Levant.
Aujourd’hui le héros de ma belle histoire est exceptionnel. Il n’est ni une personne, ni un animal, ni un objet. Si vous parlez le créole, vous avez peut-être déjà deviné. « Fwomajé » est le nom créole d’un arbre.
J’ai découvert par hasard le docu Tombée du ciel, sur la RTS 2 mardi dernier. Je suis resté scotché. Il s’agit d’un film de 43 minute sur un groupe de fous merveilleux, dont l’un dit que la principale qualité du highliner est: « Ne pense pas, fais-le! »
C’est peut-être tôt pour en faire une belle histoire: il reste trois étapes avant le Graal européen. Mais l’émotion collective qui a saisi tant de Suisses jusque dans les quartiers de banlieue est belle à voir et entendre.
On lui a aussi attribué un autre surnom: le bulldozer. Elle fait partie de ces êtres qui ont quelque chose de plus, quelque chose qui les porte et les pousse vers des accomplissements inattendus.