C’est peut-être tôt pour en faire une belle histoire: il reste trois étapes avant le Graal européen. Mais l’émotion collective qui a saisi tant de Suisses jusque dans les quartiers de banlieue est belle à voir et entendre.
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C’est peut-être tôt pour en faire une belle histoire: il reste trois étapes avant le Graal européen. Mais l’émotion collective qui a saisi tant de Suisses jusque dans les quartiers de banlieue est belle à voir et entendre.
On sait que le programme de Marine Le Pen n’est ni fasciste, ni raciste. On sait par sondage que la majorité des français approuve certaines de ses thèses (61% souhaitent l’arrêt de l’immigration, entre autres). Pourquoi n’arrive-t-elle pas au pouvoir? Quels sont les freins?
L’équipe de France a perdu la finale de l’Euro. Les images de fin de match nous rappellent que seule la victoire est jolie. La fête pour les uns, les larmes pour les autres. C’est ainsi lors d’une compétition.
Le journaliste sportif français Pierre Ménès est irrité. Irrité par la joie helvétique après l’ascension de la Nati au second tour. Il qualifie même de minable la prestation de la Suisse contre la France.
Jacques Sapir est une star de gauche. D’une gauche très à gauche, plus loin que le parti socialiste. Il a soutenu la gauche radicale façon Mélenchon et travaille à donner des thèmes à cette gauche.
Je hais les maths. D’accord, le mot est un peu fort. C’est pour dire à quel point cette branche m’a scié la tête. Je hais les équations, de la première à la dernière. Sorti des quatre opérations de base, il n’y a plus personne.
Le drame de l’étudiant dont on a appris le suicide, qui croyait avoir raté sa matu, doit être choquant et douloureux pour sa famille et ses proches. Par égard pour eux il est difficile d’en parler. Mais c’est devenu public et objet politique. La cause de ce décès serait le «système». La récupération de la mort est déjà en route. Alors oui, il faut en parler.
Le foot, on aime ou pas. Comme le sport en général. On aime ou pas les grands bastringues qui déménagent et qui ameutent un continent. On peut maugréer contre les salaires des joueurs, contre le «business machine» qui s’étale en lettres grasses à la une des quotidiens.
Les français broient du noir, Laurent Blanc est cramoisi, les Bleus sont verts. Cela fait un bel arc-en-ciel. N’empêche que les espagnols sont méchants et que Sarkozy était un président normal.
- Madame Michu, ça commence à grogner.
- Koi ki nya, m’sieur Tintouin? Vous rousse pétez encore?
- Attendez, attendez, vous avez vu ça? Il y en a un là-haut qui a oublié de fermer le robinet!
Les tensions et les manifestations violentes de ces jours en Grèce n’expriment pas un divorce moral entre ce pays et l’Union Européenne. Au contraire. Un sondage paru hier vient à point pour recadrer le débat.
Ce n’est pas une méchante plaisanterie du duo d’enfer Merkel-Sarkozy. Ce n’est pas non plus la dernière blague belge que l’on raconterait sur les grecs. C’est un journal d’Athènes qui relève cette statistique. Le nombre de Porsches Cayenne est très important en Grèce.
Les étoiles filantes ont filé... par dessus les nuages. Raaahhhh.... Le ciel n’a pas voulu de nos yeux hier soir. Dommage. Les affiches elles, en veulent bien de nos yeux. Pour le dernier billet sur le sujet, le PDC, les jeunes UDC, le PLR et la Gauche combattive. Si j’en ai oublié c’est qu’elles n’étaient pas affichées dans mon coin habituel.
(Cliquer pour agrandir les images)
Y a-t-il vraiment une sortie pour les grecs? Les plans drastiques d’austérité leur permettront-ils de ne pas faire faillite et de rembourser leur dette? Rien n’est moins sûr. Economie en forte récession à cause des plans d’austérité, baisse des recettes fiscales: la Grèce est quasiment déjà en faillite.
Il y a des détails qui mériteraient que l’on taille une médaille à leurs auteurs, ou au contraire qu’on les taille en pièce.
J’écoutais hier une interview de Annie Lacroix-Riz, historienne et professeur d’histoire, auteur du livre: «Le choix de la défaite: les élites françaises dans les années 30». Elle analyse la décennie qui a mené à la deuxième guerre mondiale et à la défaite de la France en 1940.
J’écoutais hier une interview de Annie Lacroix-Riz, historienne et professeur d’histoire, auteur du livre: «Le choix de la défaite: les élites françaises dans les années 30». Elle analyse la décennie qui a mené à la deuxième guerre mondiale et à la défaite de la France en 1940.
La baraque à frites des banques, qui sent l’huile frelatée, qui vend aussi des pizzas périmées, ne pourra plus empoisonner l’air sans rendre de comptes. Barak Obama a proposé un arsenal de mesures destinées à réorganiser et encadrer l’activité des plus grandes banques américaines. Ces mesures ont été votées par le Sénat américain. Wall Street ne sera plus hors contrôle comme il l’a été.
Pendant que les hommes manifestent une érection émotionnelle à chaque but marqué, et que les femmes pleurent une larme intime à la beauté de ces fesses rebondies, le drame des bleus se scelle comme celui d’un chapon déplumé face à la casserole frémissante. Ils sont mal partis, et ce sera difficile de passer entre les gouttes (surtout avec le temps qu’il fait). Mais j’ai une idée pour recomposer l’équipe de France et la faire gagner.
Après la déception de voir la Nati éliminée de son eurofoot, il y a eu heureusement une franche rigolade.