L’égoïsme a mauvaise presse, en général. Oser dire que l’on fait les choses pour soi suscite parfois des remarques sur le fait que l’on ne pense pas assez aux autres et que ce n’est pas bien. Un humanisme formel voudrait que nous soyons en permanence des chevaliers blancs n’ayant plus d’intérêt pour notre propre personne.
saint
-
Lucidité et bons sentiments
-
La France mange son auréole
Les politiciens français ressemblent davantage aux nobles de l’ancien régime qu’à des saints. Ils sortent de l’ENA, disposent souvent d’un bon patrimoine, sont écoutés et disposent d’une autorité qui frise le privilège. Les courbettes devant les députés font partie des rituels modernes. Quant aux ministres on les croirait toujours en pays conquis.
-
Nos visages illuminés
Aujourd’hui, voici un autre extrait de mon roman que je peaufine encore un peu. Le thème général du livre est la non-domination, dans une quête à la fois amoureuse et sociale. Le contexte de cette séquence: un homme hanté par un ancien amour dont il ne peut se défaire et auquel il reste loyal, et une femme dont l’expérience d’enfance la fait rester sur la réserve quand à s’engager avec un homme. Cette séquence traite du passage d’une relation neutre à la relation amoureuse, à la danse partagée des corps. C’est l’unique scène de ce type, donc pas représentative de l’ensemble, mais... Saint Valentin oblige.
-
Saint-Valentin: les hommes, ces grands fous, ces Tropazassé!
Allons bon, voilà pas qu’un sociologue affirme que les hommes sont trop peu romantiques et qu’ils utilisent la Saint-Valentin comme un rattrapage de tous les gestes et mots d’amour qu’ils n’ont pas faits et dits pendant l’année. Et ben tiens... Ce sociologue affirme même que cette fête est pour eux une “compensation symbolique” qui aurait à voir avec la “culpabilité masculine”.