Le Canada vient d’autoriser la mention « X » pour désigner le sexe de personnes qui ne s’identifient ni comme femmes ni comme hommes. Mais existe-t-il vraiment un sexe neutre? Ou la vérité est-elle ailleurs comme dans la série X-Files?
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Le Canada vient d’autoriser la mention « X » pour désigner le sexe de personnes qui ne s’identifient ni comme femmes ni comme hommes. Mais existe-t-il vraiment un sexe neutre? Ou la vérité est-elle ailleurs comme dans la série X-Files?
On se souvient peut-être du jugement rendu en première instance à Tours: un sexagénaire avait obtenu l’autorisation de mentionner neutre sous la rubrique sexe. La décision vient d’être cassée en appel.
Un français de 64 ans vient d’obtenir par jugement le droit de mentionner sexe neutre à la place de sexe masculin. Le jugement a été prononcé par le tribunal de grande instance de Tours.
Une partie de la presse a fait grand cas de la décision allemande de créer un troisième genre. Il s’agit des enfants dont la détermination sexuelle mâle ou femelle n’est pas tranchée.
Etre homme ou femme est associé à certaines hormones. C’est aussi associé à une détermination génétique initiale puis à la construction physique du sexe, avec la mise en place d’ovaires ou de testicules. Cela on le sait déjà.