Un article du Matin Dimanche d’il y a une semaine traite d’une nouvelle tendance: revaloriser le refus, le fait de dire Non. Ou à défaut, apprendre à le dire. Cela semble simple. C’est parfois ardu. Le non établit une distance. Refuser c’est se retirer temporairement d’une loyauté implicite ou d’une dynamique de groupe.
oui
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Oui et non
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L’homme qui regarde passer les femmes
À quel moment une attitude naturelle devient-elle socialement ou pénalement répréhensible? Combien de fois une sollicitation doit-elle être répétée pour être requalifiée en harcèlement? Faut-il codifier l’entièreté des relations entre femmes et hommes, ou laisser une zone grise d’incertitude et d’ajustement?
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Suède : un guide du consentement sexuel
Le libre choix est roi. En particulier du côté des amours. Choix de la personne, choix de faire ou non l’amour. Le consentement est aujourd’hui largement admis comme marqueur fondamental des relations. Et tant mieux.
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Sexualité : seul le « non » doit être affirmatif
Je complète mon billet d’hier. J’ai dénoncé avec force 10 ans d’emprisonnement d’un homme sur la base d’une fausse accusation, mais aussi une loi qui accrédite un climat paranoïaque dans les relations entre femmes et hommes. Je m’en suis ouvert dans un commentaire et je crois que cela vaut un billet à part entière.
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Décidément, le tunnel s’impose
L’article du jour de la Tribune de Genève papier et électronique est révélateur. Dans le paragraphe «obstacles», la dernière phrase dit, à propos de la traversée par la Pointe-à-la-Bise: «L’impact environnemental de l’ouvrage serait également significatif, mais il n’entre pas en conflit avec des zones de contraintes environnementale taboues, selon l’étude fédérale. L’étude géologique révèle un contexte difficile pour les constructeurs.»
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- Non, je n’ai pas l’heure!
Voici une réflexion qui vient en complément de mon billet sur le jeu de la mort. Dire oui? Dire non? Quelle limite poser aux possibles stratégies que l’on veut nous imposer?