Le meeting de Valérie Pécresse dimanche à Paris montre qu’elle a pris quelques conseils de coaching et de pose de la voix. Elle joue au pitbull puis prend des sourires d’ange. Elle a tendance à faire chuter le ton comme une personne déçue.
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Le meeting de Valérie Pécresse dimanche à Paris montre qu’elle a pris quelques conseils de coaching et de pose de la voix. Elle joue au pitbull puis prend des sourires d’ange. Elle a tendance à faire chuter le ton comme une personne déçue.
En suite de mon précédent billet je propose quelques réflexions plus précises sur cette approche biologique des rôles des femmes et des hommes. Un lecteur a également signalé une interview de Peggy Sastre dans Le Matin de ce jour.
Dans le feu de l’action on n’a plus assez de recul pour se rappeler les motifs et les buts d’une démarche. De plus la perception que d’autres ont de notre propre action varie selon leurs expériences et convictions personnelles, les malentendus, et les accords ou désaccords théoriques.
La tension qui a suivi l’arrestation de Dominique Strauss-Kahn redescendait à peine qu’on pouvait lire dans la presse les propos d’une call girl new-yorkaise affirmant que l’homme avait déjà fait appel à son agence à plusieurs reprises. Puis on lisait les aventures d’une supposée ex-maîtresse de Schwarzenegger. Puis un livre sortait, où une transsexuelle nomme ses clients, dont supposément un acteur noir américain très connu.