Je propose de retenir ceci de la contestation du discours antiraciste autoritaire: le formatage de pensée qu’on veut nous imposer n’est pas bon. Le premier point est de sortir du clivage et du sophisme d’opposition. Repères et objectifs.
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Je propose de retenir ceci de la contestation du discours antiraciste autoritaire: le formatage de pensée qu’on veut nous imposer n’est pas bon. Le premier point est de sortir du clivage et du sophisme d’opposition. Repères et objectifs.
Dans une récente discussion sur la guerre de Vendée, que je qualifiais d’idéologique, une internaute faisait remarquer que nous avons tous une forme d’idéologie même si nous nous en défendons. De mon côté je vois dans l'idéologie une forme particulière, autoritaire, dictatoriale de la pensée, et surtout de la pensée politique.
Dans le monde normal un mur est un mur. Une porte est une porte. Une bille, une bille. Enfin, le monde normal. Celui qu’on voit. Le monde habituel. Par exemple si je veux entrer chez moi sans ouvrir la porte, ça ne le fait pas. Si je veux passer à travers un mur je risque fort d’avoir de nombreuses ecchymoses et des os cassés avant d’avoir entamé la peinture.
Cette maxime chinoise peut laisser perplexes bien des occidentaux. Elle illustre une différence de pensée entre notre culture et celle de l’Empire du soleil levant.
La croyance dominante a longtemps été que seule l’espèce humaine savait distinguer le Bien du Mal, et donc était dotée d’un sens moral supposant des émotions plus complexes que la fuite ou l’agressivité.
Comment se superposent les étapes de la connaissance? Quand nous voyons un tabouret, cela semble si simple. Nous disons: “C’est un tabouret”. Et pourtant, que de fonctions mises en mouvement pour énoncer cette si simple identification.