Aujourd’hui je mets en avant un couple. Un de ces couples de fous merveilleux, engagés corps et âme dans une passion commune: grimper les murs. Un duo des cimes qui arpente les pistes verticales depuis 20 ans.
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Aujourd’hui je mets en avant un couple. Un de ces couples de fous merveilleux, engagés corps et âme dans une passion commune: grimper les murs. Un duo des cimes qui arpente les pistes verticales depuis 20 ans.
Le chaperon rouge était petit. Et le méchant loup, grand. C’est grâce à cette différence qu’il a pu le manger. Imaginons que le chaperon rouge ait été grand, très grand. Grand comme un rhinocéros, par exemple. Le loup n’aurait pas pu le manger. C’est ainsi: le grand mange le petit.
Les arbres, il faut prendre le temps de les regarder. Les regarder sans trop analyser d’abord. Commencer par n’importe quel bout, et faire le tour, comme cela vient: branches, tronc, écorce, feuilles, dans l’ordre qui s’impose naturellement. C’est un apprivoisement, une avancée dans son intimité.
Je ne sais pas comment ils en sont arrivés là. Je veux dire: les physiciens et les mathématiciens. Comment ils ont pu déjà imaginer, puis calculer, puis créer des instruments pour mesurer l’infiniment petit.