Petite histoire des temps très anciens. Au retour d’une chasse au mammouth particulièrement difficile, Caveman, le célèbre homme des cavernes, passe au téléjournal préhistorique sur la chaîne Dolmen +.
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Petite histoire des temps très anciens. Au retour d’une chasse au mammouth particulièrement difficile, Caveman, le célèbre homme des cavernes, passe au téléjournal préhistorique sur la chaîne Dolmen +.
Ce n’est pas la faute au capitalisme. Ni à personne. C’est l’humain et ce n’est pas une faute. Le désir d’avoir plus est aussi ancien que l’Histoire connue. Des tablettes du passé racontent la vie de l’époque. Par exemple cette lettre d’une épouse à son mari, un marchand en voyage, citée dans un documentaire sur l'âge de bronze sur la chaîne Planète: «Pendant ton absence les voisins ont construit deux maisons. Quand serons-nous en état de faire de même?»
Bien avant l’invention des banques, avant même celle de l’argent, les hommes préhistoriques connaissaient le commerce. C’était une forme fondamentale d’échange. L’un produisait des céréales et cela prenait tout son temps. Il ne pouvait donc aller chasser pour garnir son couscous de viande d’agneau sauvage.
A chacun selon ses besoins, prônait Karl Marx. Formule étrange. Comment définir les besoins de chacun? Et comment digérer le constat fondamental d’inégalité que suppose la formule? Car admettre que chacun doit avoir selon ses besoins c’est admettre que les besoins sont différents. Si tout le monde avait les même besoins la question ne se poserait même pas.
Au XIXe siècle la découverte d’une deuxième humanité, celle des néandertaliens, confrontait l’idée d’espèce «élue» qui serait celle dont nous descendons et dont nous sommes les représentants. Il y avait les singes et les Hommes. Des Hommes intelligents, malins, forcément différents de ce que l’on nommait les sauvages.
Passé un jour à présenter mon livre avec d’autres auteurs. Météo très humide, public clairsemé. Peu importe. Echanges intéressants. C’est aussi important de communiquer que de vendre.
Ce n’est pas encore fait mais c’est à l’étude: on veut faire revivre l’homme de Neandertal. On: c’est George Church, un généticien de Harvard dont la formule choc est: «Pour trente millions de dollars on fait revenir Neandertal». 30 millions: le coût des travaux en vue du clonage de cet hominidé dont nous portons une petite partie de l’ADN.
Depuis Tristan et Yseult, Roméo et Juliette, Pélléas et Mélisande, l’amour semble aller de soi. Je veux dire qu’il semble exister comme une chose normale, depuis toujours. Les histoire d’amour abondent dans la littérature. Heureuses ou malheureuses elle nous envoûtent souvent. La chanson de variété compte d’innombrables textes parlant de l’amour sous presque toutes ses formes.
Une équipe de généticiens suisses du centre généalogique iGENEA à Zurich, a fait une intéressante découverte: la moitié des européens de l’ouest partageraient une ascendance commune avec le pharaon Toutankhamon.
Disparus depuis quelques milliers d’années. Même pas de photo d’époque pour savoir précisément à quoi ils ressemblaient. On a bien des ossements, leur morphologie et leur aspect extérieur ont été reconstitués.