Fini l’or des stades pour les vraies femmes. Elles se font surclasser par les femmes transsexuelles, c’est-à-dire des hommes biologiques ayant changé d’apparence et d’identité.
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Fini l’or des stades pour les vraies femmes. Elles se font surclasser par les femmes transsexuelles, c’est-à-dire des hommes biologiques ayant changé d’apparence et d’identité.
Jusqu’où ira la science? Il y a quelques années le code génétique fournissait des informations sur la filiation et sur certains troubles de santé. Aujourd’hui il permet de définir des caractéristiques morphologiques. Demain il fournira les éléments d’un portrait robot peut-être détaillé.
A un degré ou à un autre l’eugénisme fait partie de notre monde. La question n’est pas d’être pour ou contre l’eugénisme - qui refuserait l’idée que son enfant puisse naître sans risque de handicap? - mais de distinguer les différents types d’eugénisme, et qui prend la responsabilité de mettre en place une pratique médicale ou hygiénique eugénique.
La nouvelle a fusé hier sur internet: un généticien de la prestigieuse Harvard Medical School prétendait être prêt à cloner un homme de Neandertal. Il annonçait même chercher une «mère aventureuse» - entendez par là une mère porteuse prête à tout - pour tenter l’expérience.
Zizeeria maha. C’est leur nom scientifique. Nous, nous dirions: des papillons bleus. Des observateurs de la faune ont capturé une certaine quantité de ces papillons ayant grandi autour de la centrale accidentée de Fukushima au Japon.
Depuis Simone de Beauvoir, une lecture productiviste et unisexe du genre humain s’est développée. Il paraît qu’on ne naît pas femme (ni homme), on le devient. Notre biologie n’aurait rien à voir dans la définition de notre masculinité et de notre féminité. Le corps et la culture sont découplés, dissociés. Mais pourquoi donc avoir produit une théorie aussi extrême et désincarnée? Et pourquoi avoir continué à la développer alors qu’elle n’est pas démontrée?
La modernité technologique est simple à identifier: un appareil neuf est en principe moderne. Il contient les caractéristiques des dernières recherches. Un voiture dispose d’airbags et d’un système ABS: elle est moderne. Intellectuellement aussi il y a une modernité. Comment l’identifier et en quoi est-elle plus moderne qu’autre chose?
Une équipe de généticiens suisses du centre généalogique iGENEA à Zurich, a fait une intéressante découverte: la moitié des européens de l’ouest partageraient une ascendance commune avec le pharaon Toutankhamon.
Dans le premier billet j’abordais la question des différences hommes-femmes d’une manière générale. Je citais quelques exemples extraits du magazine «Cerveau & psycho», numéro spécial février-avril sur les différences du cerveau entre les genres. Je continue à citer des recherches présentées dans ce magazine et dont les sources sont indiquées dans chaque article.
Les hommes et les femmes sont différents. Les comportements sont en partie modelés par le milieu, mais certaines différences ne trouvent pas à s’expliquer uniquement par l’éducation et l’environnement social. Il semble qu’il y ait un «inné» et pas seulement un «acquis». Toutefois il semble que l’interaction entre l’inné et l’acquis soit permanente, l’environnement étant susceptible de modifier l’expression d’un gène et de donner une fonction «acquise» à quelque chose qui était auparavant un «inné».
Petites infos et grandes nouvelles lues cette semaine dans la presse suisse et française.
Voilà un découverte bien pratique. Surtout pour les blondes. Depuis le temps qu’elles sont déclassées et traitées de pas très malines elles vont enfin avoir une explication en guise de défense.
Les OGM mènent à tout. Et la génétique sera l’un des piliers de la médecine de ce siècle. Qu’on le veuille ou non, l’humain est en route pour apporter des corrections à des organismes déficients et à des gènes défectueux. J’y vois une étape décisive dans l’adaptation de l’humain à son milieu.
C’est toujours un soulagement quand les grandes énigmes de l’univers trouvent une solution, fut-elle temporaire et contestée. Ainsi l’humanité vient-elle de faire un grand pas en avant sur la question lancinante qui a hanté tant de générations. Une question qui a généré de trop nombreuses nuits d’insomnie.
La Cour d’appel de Trieste, dans le nord de l’Italie, a invoqué pour la première fois un lien entre un acte criminel et une prédisposition génétique. Un meurtrier d’origine algérienne a vu ainsi sa peine réduite de 9 à 8 ans de prison. Après une «psychologisation» que je trouve parfois excessive dans les affaires pénales, va-t-on arriver à une «génétisation» des comportements criminels?
Dans un précédent billet, un commentateur - Greg - a posté un commentaire auquel je n’ai pas encore répondu. Après réflexion, ce commentaire vaut bien un billet. Voici d’abord des extraits du commentaire de Greg, que je remercie ici pour sa contribution.
Lu dans le dernier numéro de Cerveau & Psycho, excellent bimestriel sur la psychologie et les neurosciences. Des chercheurs suédois de l’Institut Karolinska ont fait une étude sur le divorce dans les couple. L’originalité est d’avoir cherché s’il y avait une prédisposition génétique au divorce.