L’animatrice télé Maïtena reçoit deux invités sur le plateau, un homme et une femme. Sans préalable elle annonce en direct: « Il y en a un des deux avec lequel j’ai couché. » Elle précise ensuite que ce n’était pas un garçon.
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L’animatrice télé Maïtena reçoit deux invités sur le plateau, un homme et une femme. Sans préalable elle annonce en direct: « Il y en a un des deux avec lequel j’ai couché. » Elle précise ensuite que ce n’était pas un garçon.
Un mot de Charly Schwarz sur sa page Facebook m’a inspiré un commentaire. Je le complète et en fais ici un billet. Le propos de Charly était:
«Le fait de mettre l'accent sur les distinctions de statuts, de fonctions, de diplômes perpétue les cloisonnements et maintiennent des rapports de subordination qui suscitent le plus souvent d'avantage de rejet que de respect.»
Comprendre l’éventuel lien symbolique entre la femme et la maison ne doit pas faire verser dans l’attribution exclusive d’une position ou d’un rôle social qui enfermerait le sujet définitivement. La symbolique est simplificatrice, pas réductrice.
SolidaritéS recommande sur son blog le rejet du projet de nouvelle Constitution genevoise. Le reproche principal est qu’il s’agit d’un projet neolibéral. Un point soulevé me paraît être un excellent objet de réflexion. Il pourrait être proposé comme examen de matu en philosophie politique.
Reportage sur la Chine hier sur France 2 (émission Un oeil sur la planète), à l’occasion de l’exposition universelle de Shangaï.