Zemmour. Avec un Z comme Zorro. Il a pris du coffre sur Infrarouge. Il parle avec une force et une précision que je ne lui connaissais pas. Il tient son sujet et cloue le bec à ses contradicteurs. Fait remarquable, même Esther Mamarbachi n’arrive pas à le couper! Au fait, j’ai déjà vu Infrarouge mieux inspirée côté invités. Ceux-ci ont déroulé le tapis rouge au polémiste en n’étant simplement pas à la hauteur.
marxisme
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Zemmour, regret ou progrès
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Manuel Valls contre la gauche passéiste, ou la nouvelle révolution socialiste
Le premier ministre français donne de la voix. Dans une interview à «L’Obs» il pose avec force les marques d’une nouvelle gauche. Une gauche qui n’est plus du tout celle de Montebourg ou de Martine Aubry. C’est peut-être le début d’un tournant historique.
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Raisons d’une critique (3): le mâle est (dé)fait
En citant un extrait de Valérie Solanas je suis resté très discret sur sa personnalité et ce qu’elle représente dans le mouvement féministe de l’époque. Certains pensent qu’elle était un cas isolé, victime d’un trouble psychiatrique. Je pense qu’au contraire elle a été une icône et que l’on peut parler d’un avant et un après Solanas dans le féminisme américain. On ne peut comprendre ce féminisme lesbien, vindicatif et expansionniste sans mentionner Solanas.
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Les raisons d’une critique (2): femme libérée
Le discours de reproches et de revendications a aussi des racines plus anciennes. Il y eu des raisons de corriger les effets néfastes de la révolution française et du code Napoléon, qui avaient placé les femmes en sujétion sociale. Mais cette correction et le retard à leur accorder le droit de vote expliquent-ils à eux seuls la violence du discours sur les hommes et la société, telle que décrite précédemment?
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Les raisons d’une critique (1): «Invincible»
Qui connaît ces paroles de chanson: «If I have to, I can do everything. I am strong, I am invincible, I am Woman». Ce qui donne en français: «S’il le faut je peux tout faire. Je suis forte, je suis invincible, je suis Femme». C’est une partie du refrain d’une chanson d’Helen Reddy, «I am Woman».
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Questions de genre (1): la politique orwellienne
La société de complémentarité est suspectée d’encourager à l’inégalité des sexes parce qu’elle favorise des stéréotypes ou des modèles de comportements fixes et cloisonnés. Dans l’imagerie dominante matraquée depuis quelques années, une femme ne pourrait être autre chose que mère et boniche, un homme que héros et maître absolu. Quelle imagination! L’univers manichéen et simpliste de la bande dessinée est entré dans la sociologie.
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Comprendre les enjeux de l'déologie du genre
D'abord l'information suivante: j'ai créé un deuxième blog, centré sur la politique et la vie à Genève. A découvrir ici avec en deuxième article le Parti Pirate.
A lire toutes affaires cessantes: la marxisation de la société va se répandre dans l’école française dès l’âge de 6 ans.
Je propose aujourd’hui un article d’une grande limpidité sur l’idéologie du genre, écrit par Alexis Aguettant sur son site Homme Culture Identité, dont je recommande la visite. Les enjeux politiques et culturels sont ici parfaitement résumés. -
Foulard islamique: le voile de Malala
Des filles ou femmes portent le voile, signe d’appartenance culturelle et religieuse selon une lecture rigoriste du coran. Ne peut-on considérer qu’elles adhèrent de leur propre chef à leur culture et religion? Ne peut-on les respecter et considérer qu'elles choisissent elles-mêmes de porter le voile, comme signe d'appartenance voulue?
Faut-il contester le foulard des écolières de Bürglen au nom de l'égalité femmes-hommes? C’est le point de vue de Mireille Vallette sur son blog. -
Libéralisme 11: l’être et le statut social
Un mot de Charly Schwarz sur sa page Facebook m’a inspiré un commentaire. Je le complète et en fais ici un billet. Le propos de Charly était:
«Le fait de mettre l'accent sur les distinctions de statuts, de fonctions, de diplômes perpétue les cloisonnements et maintiennent des rapports de subordination qui suscitent le plus souvent d'avantage de rejet que de respect.» -
Zimbabwe: l’échec total de Mugabe
Le dictateur, ami de Jean Ziegler, avait fait parler dramatiquement du pays lors des méfaits sanglants commis par son régime. La mise en pratique de l’idéologie marxiste n’a fait qu’appauvrir le pays depuis des années. La terrible épidémie de choléra il y a trois ans a fait des milliers de morts faute de moyens de soigner la population.
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Le libéralisme est une vraie philosophie de vie
La critique du libéralisme souffre à la fois d’excès et d’insuffisances. Excès dans la critique et la stigmatisation de cette philosophie sociale, insuffisances dans la reconnaissance de ce qu’on lui doit, y compris le droit de la critiquer. On parle même régulièrement de néolibéralisme, comme s’il fallait justifier la critique par un supposé changement de nature du libéralisme, celui-ci étant hypothétiquement devenu plus mauvais qu’avant.
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Si ce n’est toi (2): le syndrome du couple Cohen
Personne ne doit se laisser maltraiter. La maltraitance, la violence, sont des perturbations relationnelles sans issue autre que la souffrance et à terme, la mutilation physique ou morale, voire la mort, de la personne visée. Avec ou sans aboutissement fatal il y a toujours pour la victime une forme d’exclusion, un refus de son existence pleine et libre.
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Méchant patriarcat!
En suite au débat sur mon billet d’hier, je reviens sur le compte-rendu d’un colloque parisien sur la violence conjugale. Colloque organisé entre autres par Solidarité femmes et soutenu par la Mairie de Paris et d’autres organismes.
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Conversations en terre d’islam (1)
Etre invité dans une famille marocaine est une chance. On prend la température de la société de l’intérieur. Cinq jours c’est court et ne permet pas de percevoir tous les codes en vigueurs. Mais les conversations avec des hommes et des femmes du pays donnent une idée du mode de vie et des valeurs et permettent une réflexion en relation avec le mode de vie européen. Par mon parcours personnel, ma réflexion sur l’évolution européenne et mes précédents voyages au Maghreb, ce que je vois et entends prend rapidement du sens.
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Une femme sur cinq vit avec un criminel?
J’ai plusieurs fois évoqué la démesure prise par l’affaire Galliano. C’est loin d’être le seul cas de démesure. Alors que j’ai traité la journée de la femme en rendant hommage aux tunisiennes, en rédigeant un petit conte futuriste, ainsi que dans un troisième billet d’humour, ce soir je dois déplorer l’agression misandre et la folie qui a saisi Amnesty Belgique. Décidément rien n'est encore gagné en matière d'égalité des sexes! Les hommes restent les éternels bourreaux et les femmes les éternelles victimes.
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Sur Infrarouge, Isabelle Alonso montre les dents
«Pauvres chouchous», dit-elle. Pauvres chouchous. Elle s’arrête. Fait une tête presque sympathique, genre pitbull qui se ferait passer pour un cocker. Pauvres chouchous. C’est spontané, cela sort du coeur, mais c'est tout ce qu’elle trouve à dire quand l’animatrice lui demande si elle comprend que des hommes soient mal à l’aise avec le féminisme.
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Violence domestique (4): l’homme castré
Si l’époque est marquée entre autres par la déconstruction d’anciennes croyances, il est tout aussi important de déboulonner les nouvelles croyances. Si l’on veut poser peu à peu les bases d’une nouvelle société, il faut faire table rase des idées et idéologies qui perpétuent les anciens systèmes. La volonté de pouvoir est l’un de ceux-là.
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Les connes, elles ont recommencé!
Grosse colère. Le nouveau clip de m... sur la violence conjugale diffusé en France est grave. Très grave. Les connes, elles ont recommencé! Les connes de féministes, le gynécée des pitbulles, les suceuses du fric des contribuables. Car c'est forcément elles qui sont derrière cela, depuis le temps qu'elle font de ce thème leur fond de commerce lucratif.
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L’oppression
L’analyse de l’oppression diffère selon la grille de lecture que l’on emploie. Mais le point commun est la souffrance d’humains, soit en tant que membres d’un groupe social, soit en tant qu’individus.
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La non-domination
Je me suis toujours demandé pourquoi certaines personnes dominent d’autres personnes. Est-ce un trait de caractère inné, peut-être biologique, lié à des configurations cérébrales spécifiques ou à des taux hormonaux particuliers, entre autre en ce qui concerne la testostérone?