Fin de la quarantaine. Jusque là confinée dans des régions éloignées, la pluie est revenue sur Genève. Une bonne pluie. Une pluie tendre, portée par une grande dépression atlantique. De 30 à 50 mm d’eau selon la Tribune de Genève.
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Fin de la quarantaine. Jusque là confinée dans des régions éloignées, la pluie est revenue sur Genève. Une bonne pluie. Une pluie tendre, portée par une grande dépression atlantique. De 30 à 50 mm d’eau selon la Tribune de Genève.
S’ils arrivent enfin en masse sur le marché suisse, les masques font le grand écart des prix. La pénurie fait la rareté, la rareté fait la cherté. Je mentionnais hier le premier prix auquel j’ai vu des masques jetables 3 plis (chirurgicaux) disponibles en début de journée: 40 CHF les 50 dans une officine médicale.
Plus besoin de mettre un slip sur sa tête: ils arrivent. Ils sont annoncés pour cette semaine. Les masques de protection sont même déjà disponibles dans certaines officines médicales. Pourquoi maintenant seulement? Et pourquoi ne sont-ils pas disponibles à bas prix dans tous les commerces de détail?
Le fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, voit sa fortune augmenter de 24 milliards de dollars depuis le début de l’année. Il détient 12% de l’entreprise, dont les résultats sont en forte hausse ces dernières semaines.
Retour de commissions. Mes pas rejoignent ceux d’une jeune femme, voisine de barre d’immeuble. « Comment ça va? » « Ça se passe bien, et vous? »
Idole des ménagères humanistes de plus de 50 ans, le neuropsychiatre prophétise de nouveaux lendemains à inventer, après le malheur de la pandémie. Il tient sermon dans une interview accordée le 18 avril à RFI.
Dimanche de Pâques. Je suis installé à l’ombre de grands arbres. Une connaissance passe, à distance respectable. Nous parlons un moment. Il cherche dans la pandémie un signe adressé à l’humanité.
On se souviendra de la fête de Pâques du confinement. Une toute belle météo que l’on goûtera par nos fenêtres et nos balcons. Ça! On a l’air fins à regarder le soleil depuis la pénombre de nos intérieurs.
Cette petite phrase discrète fait mal. Ou mâle. Les tenancières du langage inclusif subissent un camouflet. Je publie ci-dessous l’infographie qui accompagne l’article qui a inspiré mon précédent billet. Ce graphe illustre, en pourcentage, l’exposition des femmes au risque du Covid-19.
On ne sait plus à quel sein saint se vouer. D’abord, un article annonce que les femmes sont plus exposées que les hommes au risque du Covid-19. En cause: leur nombre au front. C’était le 18 mars dans la Tribune de Genève. Olivier Bot ouvrait le feu.
Fin de la brève période hivernale. Pas de record cette semaine. Quelques gelées matinales, une bise supportable, et déjà le thermomètre grimpe l’après-midi. Point de comparaison: à Genève, les derniers coups de froid vifs de fin mars, du 22 au 30, datent des années 1901, 1915, 1962, 1971. Les minima oscillaient alors entre -4° et -6,1°.